Paris respire enfin
Soccer dimanche, 21 janv. 2007. 11:58 dimanche, 15 déc. 2024. 13:56
PARIS (AFP) - Le Paris SG, sans être génial et malgré tout toujours en convalescence, s'est qualifié pour les 8e de finale de la Coupe de France dimanche grâce à sa victoire face à Gueugnon (1-0), la première de l'ère Le Guen.
Est-ce le début de l'effet Le Guen? En tout cas, à défaut de séduire et d'impressionner, le Paris SG a gagné, et c'est bien cela l'essentiel en ces temps orageux. Pour son deuxième match sur le banc, et son sixième jour à la tête du club, l'ancien joueur du Paris SG a donc déjà une première victoire à son actif, et désormais un peu plus de crédit.
Mais le natif de Pencran, qui avait déjà découvert l'ampleur du chantier face à Toulouse, a malgré tout pu voir que son travail de reconstruction sera très loin d'une promenade de santé.
Car si le Paris SG a gagné, grâce à un but libérateur de l'inévitable Kalou (66), face à une équipe qui incarnait à elle seule ses vieux démons (Gueugnon avait battu le Paris SG en finale de la Coupe de la Ligue en 2000 et en 16e de finale en 2003), c'est à peu près la seule chose à garder de cette rencontre.
Etat d'esprit
Mais en ces temps de disette, l'équipe parisienne, complètement moribonde en championnat, a au moins le mérite de s'accrocher avec le désespoir d'un survivant dans une Coupe qui semble désormais la seule issue possible pour sauver sa saison.
Comme le Breton l'avait annoncé dès le début, il ne possède pas de "baguette magique" pour redresser un club malade. Il en aurait pourtant bien besoin, tant ce succès fut long et pénible à se dessiner.
Et si l'on peut déceler les premiers effets de la 'patte' Le Guen, il ne faut surtout pas chercher dans le jeu, ou plutôt dans son absence totale, mais dans l'application des Parisiens, et leur abnégation.
A défaut d'être génial, loin de là, le Paris SG a au moins redécouvert les vertus de la rigueur...
Le première mi-temps, débutée sans le meilleur buteur du club parisien, Pauleta, en dehors de deux frappes cadrées sans intérêt, et d'un ennui à s'ouvrir les veines, est à oublier. Et si l'on avait cru voir du mieux dans le jeu des Parisiens face à Toulouse, ces 45 premières minutes laissaient croire que le soufflé était retombé, après les espoirs suscités par l'arrivée de Le Guen aux fourneaux.
Mais l'état d'esprit irréprochable des Parisiens, ce que recherche avant tout Le Guen, a fini par payer. Le chemin du redressement est encore long, mais les prémisses d'un probable renouveau ont pointé le bout de leur nez. Contre Gueugnon, le PSG a commencé à se forger un nouveau moral.
Est-ce le début de l'effet Le Guen? En tout cas, à défaut de séduire et d'impressionner, le Paris SG a gagné, et c'est bien cela l'essentiel en ces temps orageux. Pour son deuxième match sur le banc, et son sixième jour à la tête du club, l'ancien joueur du Paris SG a donc déjà une première victoire à son actif, et désormais un peu plus de crédit.
Mais le natif de Pencran, qui avait déjà découvert l'ampleur du chantier face à Toulouse, a malgré tout pu voir que son travail de reconstruction sera très loin d'une promenade de santé.
Car si le Paris SG a gagné, grâce à un but libérateur de l'inévitable Kalou (66), face à une équipe qui incarnait à elle seule ses vieux démons (Gueugnon avait battu le Paris SG en finale de la Coupe de la Ligue en 2000 et en 16e de finale en 2003), c'est à peu près la seule chose à garder de cette rencontre.
Etat d'esprit
Mais en ces temps de disette, l'équipe parisienne, complètement moribonde en championnat, a au moins le mérite de s'accrocher avec le désespoir d'un survivant dans une Coupe qui semble désormais la seule issue possible pour sauver sa saison.
Comme le Breton l'avait annoncé dès le début, il ne possède pas de "baguette magique" pour redresser un club malade. Il en aurait pourtant bien besoin, tant ce succès fut long et pénible à se dessiner.
Et si l'on peut déceler les premiers effets de la 'patte' Le Guen, il ne faut surtout pas chercher dans le jeu, ou plutôt dans son absence totale, mais dans l'application des Parisiens, et leur abnégation.
A défaut d'être génial, loin de là, le Paris SG a au moins redécouvert les vertus de la rigueur...
Le première mi-temps, débutée sans le meilleur buteur du club parisien, Pauleta, en dehors de deux frappes cadrées sans intérêt, et d'un ennui à s'ouvrir les veines, est à oublier. Et si l'on avait cru voir du mieux dans le jeu des Parisiens face à Toulouse, ces 45 premières minutes laissaient croire que le soufflé était retombé, après les espoirs suscités par l'arrivée de Le Guen aux fourneaux.
Mais l'état d'esprit irréprochable des Parisiens, ce que recherche avant tout Le Guen, a fini par payer. Le chemin du redressement est encore long, mais les prémisses d'un probable renouveau ont pointé le bout de leur nez. Contre Gueugnon, le PSG a commencé à se forger un nouveau moral.