Passer de 500 à 50 000 spectateurs
Soccer lundi, 23 févr. 2009. 18:47 vendredi, 13 déc. 2024. 20:56
C'est mercredi qu'aura lieu le match le plus important de l'histoire du soccer québécois quand l'Impact recevra le club mexicain Santos Laguna, à l'occasion du match aller des quarts de finale de la ligue des champions de la CONCACAF.
En ce 23 février, l'Impact s'est moqué de la neige et a pris possession du Stade olympique.
Plus de 50 mille personnes assisteront au match de mercredi. On n'a rien vu de tel à Montréal depuis l'époque du Manic, au début des années 80. On est loin des années creuses de l'Impact, où il n'y avait que quelques centaines de spectateurs aux matchs.
«C'est difficile à croire», admet Patrick Leduc qui faisait partie des 500 partisans qui appuyait l'Impact à ses débuts. «J'étais tellement content quand il y avait 5000 personnes aux matchs, mais là, de jouer devant 50 000 personnes au Stade olympique, c'est une progression phénoménale. C'est signe que le soccer a beaucoup grandi.»
Peu de joueurs de l'Impact ont eu l'occasion de jouer devant une si grosse foule. Eduardo Sebrango l'a vécu avec les Whitecaps de Vancouver en affrontant David Beckham et le Galaxy de Los Angeles à deux occasions, à Vancouver et à Edmonton.
Deux matchs amicaux, sans enjeu, mais qui ont lui ont laissé de très beaux souvenirs.
«Juste le fait de marcher sur le terrain m'a rendu fébrile», confie Sebrango. Mais cette fois, il y aura un véritable enjeu, ce qui ajoutera à cet événement spécial.»
De son côté, Sandro Grande a déjà joué devant 60 000 personnes en Afrique lors des Jeux de la Francophonie et il assure que les joueurs devront être terre-à-terre à l'approche de ce match important
Mauro Biello a connu les années de noires de l'Impact. Il aurait donc évidemment voulu être sur le terrain, mercredi. Le capitaine s'est cependant fracturé une clavicule la semaine dernière.
«C'est difficile», admet Biello. «Tu travailles tellement fort lors d'une carrière et ce match avait un caractère très spécial. Cependant, encore une fois je me suis blessé, mais ça fait partie du sport.»
À noter que le club mexicain Santos Laguna s'entraînera à deux occasions au Stade olympique avant l'affrontement de mercredi.
D'après un reportage de François-Etienne Corbin
En ce 23 février, l'Impact s'est moqué de la neige et a pris possession du Stade olympique.
Plus de 50 mille personnes assisteront au match de mercredi. On n'a rien vu de tel à Montréal depuis l'époque du Manic, au début des années 80. On est loin des années creuses de l'Impact, où il n'y avait que quelques centaines de spectateurs aux matchs.
«C'est difficile à croire», admet Patrick Leduc qui faisait partie des 500 partisans qui appuyait l'Impact à ses débuts. «J'étais tellement content quand il y avait 5000 personnes aux matchs, mais là, de jouer devant 50 000 personnes au Stade olympique, c'est une progression phénoménale. C'est signe que le soccer a beaucoup grandi.»
Peu de joueurs de l'Impact ont eu l'occasion de jouer devant une si grosse foule. Eduardo Sebrango l'a vécu avec les Whitecaps de Vancouver en affrontant David Beckham et le Galaxy de Los Angeles à deux occasions, à Vancouver et à Edmonton.
Deux matchs amicaux, sans enjeu, mais qui ont lui ont laissé de très beaux souvenirs.
«Juste le fait de marcher sur le terrain m'a rendu fébrile», confie Sebrango. Mais cette fois, il y aura un véritable enjeu, ce qui ajoutera à cet événement spécial.»
De son côté, Sandro Grande a déjà joué devant 60 000 personnes en Afrique lors des Jeux de la Francophonie et il assure que les joueurs devront être terre-à-terre à l'approche de ce match important
Mauro Biello a connu les années de noires de l'Impact. Il aurait donc évidemment voulu être sur le terrain, mercredi. Le capitaine s'est cependant fracturé une clavicule la semaine dernière.
«C'est difficile», admet Biello. «Tu travailles tellement fort lors d'une carrière et ce match avait un caractère très spécial. Cependant, encore une fois je me suis blessé, mais ça fait partie du sport.»
À noter que le club mexicain Santos Laguna s'entraînera à deux occasions au Stade olympique avant l'affrontement de mercredi.
D'après un reportage de François-Etienne Corbin