Russie ou Suède?
Soccer mardi, 17 juin 2008. 13:07 dimanche, 15 déc. 2024. 02:56
INNSBRUCK, Autriche - L'équipe de Suède espère faire prévaloir son expérience sur la jeune formation de Russie dans le match décisif pour l'attribution de la dernière place pour les quarts de finale de l'Euro 2008 qui les opposera mercredi à Innsbruck, en Autriche. Voyez cet affrontement sur les ondes de RDS dès 14h45.
Avec une meilleure différence de buts que sa rivale, la Suède n'a besoin que d'un point pour être le deuxième qualifié du groupe D derrière l'Espagne, qui a déjà son billet en poche. Pendant ce temps, la sélection ibérique affrontera la Grèce, championne d'Europe en 2004 déjà déchue.
"Nous savons qu'un nul suffit, mais je formerai l'équipe qui nous donnera les meilleures chances de bien jouer et de gagner", a affirmé Lars Lagerback, l'entraîneur suédois.
Cela semble indiquer que le technicien suédois n'envisage pas de ménager ses cadres dont son attaquant Zlatan Ibrahimovic. Buteur dans chacun des deux matches joués par son équipe, le joueur de l'Inter Milan est toujours en délicatesse avec son genou gauche et n'est vraisemblablement pas en état de jouer 90 minutes.
La Suède a entamé l'épreuve par une victoire (2-0) sur le champion sortant mais a, ensuite perdu, face à l'Espagne. De son côté, la Russie s'est difficilement relevée de sa lourde défaite initiale devant l'Espagne (1-4) en battant la Grèce (1-0) lors de sa seconde sortie.
"Je suis très heureux qu'après le match contre l'Espagne, où l'équipe a été plutôt naïve, elle a su réagir face à la Grèce comme elle l'a fait en jouant au football mais aussi avec plus d'engagement", a salué Guus Hiddink, le patron de la sélection russe.
Une partie des chances russes repose sur le retour de son attaquant Andreï Archavine, capable de faire du mal à toutes les défenses.
"C'est un joueur qui peut faire la différence. Il peut marquer un but impossible de n'importe quel endroit du terrain", a affirmé Hiddink à propos du joueur du Zénith Saint-Pétersbourg qui purgeait une suspension lors des deux premiers matches.
Dans l'autre rencontre, l'Espagne voudra boucler son parcours sur un sans faute tandis que la Grèce, champion d'Europe sortant, tentera de sauver ce qu'il lui reste de fierté en évitant de quitter la scène sans avoir inscrit le moindre point et le moindre but. Jamais un champion en titre n'a quitté l'épreuve sans marquer.
"C'est sûrement une motivation, mais ce sera encore un gros match", a prédit l'attaquant Nikos Liberopoulos.
Luis Aragonés, le patron de la sélection ibérique, a décidé de faire largement tourner son effectif. Les Grecs ne seront, donc, pas sous la menace de David Villa et Fernando Torres, cinq buts à eux deux en deux rencontres, qui seront ménagés. En revanche, Aragonés devrait lancer Dani Guiza, le meilleur réalisateur de la Liga avec 27 buts, et titulariser Cesc Fabregas.
"Qu'importe ceux qui jouent, la qualité du jeu espagnol est très élevée, a estimé l'attaquant grec Ioannis Amanatidis. Ce ne sera certainement pas un match facile."
Avec une meilleure différence de buts que sa rivale, la Suède n'a besoin que d'un point pour être le deuxième qualifié du groupe D derrière l'Espagne, qui a déjà son billet en poche. Pendant ce temps, la sélection ibérique affrontera la Grèce, championne d'Europe en 2004 déjà déchue.
"Nous savons qu'un nul suffit, mais je formerai l'équipe qui nous donnera les meilleures chances de bien jouer et de gagner", a affirmé Lars Lagerback, l'entraîneur suédois.
Cela semble indiquer que le technicien suédois n'envisage pas de ménager ses cadres dont son attaquant Zlatan Ibrahimovic. Buteur dans chacun des deux matches joués par son équipe, le joueur de l'Inter Milan est toujours en délicatesse avec son genou gauche et n'est vraisemblablement pas en état de jouer 90 minutes.
La Suède a entamé l'épreuve par une victoire (2-0) sur le champion sortant mais a, ensuite perdu, face à l'Espagne. De son côté, la Russie s'est difficilement relevée de sa lourde défaite initiale devant l'Espagne (1-4) en battant la Grèce (1-0) lors de sa seconde sortie.
"Je suis très heureux qu'après le match contre l'Espagne, où l'équipe a été plutôt naïve, elle a su réagir face à la Grèce comme elle l'a fait en jouant au football mais aussi avec plus d'engagement", a salué Guus Hiddink, le patron de la sélection russe.
Une partie des chances russes repose sur le retour de son attaquant Andreï Archavine, capable de faire du mal à toutes les défenses.
"C'est un joueur qui peut faire la différence. Il peut marquer un but impossible de n'importe quel endroit du terrain", a affirmé Hiddink à propos du joueur du Zénith Saint-Pétersbourg qui purgeait une suspension lors des deux premiers matches.
Dans l'autre rencontre, l'Espagne voudra boucler son parcours sur un sans faute tandis que la Grèce, champion d'Europe sortant, tentera de sauver ce qu'il lui reste de fierté en évitant de quitter la scène sans avoir inscrit le moindre point et le moindre but. Jamais un champion en titre n'a quitté l'épreuve sans marquer.
"C'est sûrement une motivation, mais ce sera encore un gros match", a prédit l'attaquant Nikos Liberopoulos.
Luis Aragonés, le patron de la sélection ibérique, a décidé de faire largement tourner son effectif. Les Grecs ne seront, donc, pas sous la menace de David Villa et Fernando Torres, cinq buts à eux deux en deux rencontres, qui seront ménagés. En revanche, Aragonés devrait lancer Dani Guiza, le meilleur réalisateur de la Liga avec 27 buts, et titulariser Cesc Fabregas.
"Qu'importe ceux qui jouent, la qualité du jeu espagnol est très élevée, a estimé l'attaquant grec Ioannis Amanatidis. Ce ne sera certainement pas un match facile."