Schalke écarte Valence de son chemin
Soccer mercredi, 9 mars 2011. 17:01 dimanche, 15 déc. 2024. 13:33
BERLIN - Schalke 04 a fait plier Valence (3-1), mercredi, en 8e de finale retour de Ligue des champions, une victoire qui donne du baume au coeur de son entraîneur Felix Magath, dont le licenciement en fin de saison a été annoncé par la presse le matin même, sans confirmation officielle.
Le match a démarré sur un bon rythme, Schalke ne cherchant pas à garder l'avantage du but à l'extérieur inscrit à l'aller (1-1).
Valence s'est toutefois créé la première occasion, grâce à Jérémy Mathieu, oublié par la défense, qui a tiré au ras du poteau de Neuer (8) du gauche des 16 mètres après un corner à ras-de-terre.
Les Allemands ont répliqué par Gavranovic, idéalement servi par Jurado, mais sa tête seul à 9 mètres des buts a été facilement arrêtée par Guaita (14).
Au sortir du quart d'heure de jeu, les Valencians ont ouvert le score, sur un débordement de Topal qui a adressé un centre très tendu sur la tête de Ricardo Costa, dont on ne sait pas s'il a voulu reprendre la balle ou l'éviter sur l'action, mais qui a marqué (0-1, 17).
Farfan intenable
Le match est ensuite tombé dans un faux rythme, et il a fallu une merveille de coup-franc enroulé et tendu du droit de Farfan, à vingt mètres, pour réveiller le stade et remettre les deux équipes à égalité parfaite (1-1, 40).
Le K.-O. était tout proche en début de la deuxième période et Schalke a fait basculer le match, non sans réussite.
Sur un centre mal renvoyé par la défense, Farfan s'est emmené la balle de la cuisse et a frappé à 12 mètres des buts. Le gardien espagnol n'a pu que repousser sur Gavranovic, dont le tir de la pointe du pied a tapé les deux poteaux avant d'entrer (2-1, 52).
Aduriz, l'avant-centre de Valence, a raté ensuite deux fois l'égalisation, et donc la qualification. La première fois en reprenant à côté un centre repoussé par Metzelder (57), la deuxième en perdant un face à face avec Manuel Neuer, qui a dévié la balle au-dessus d'une manchette-réflexe du bras gauche (58).
À moins de dix minutes du coup de sifflet final, Gavranovic a manqué de porter le coup de grâce en frappant de près sur le poteau de Guaita (81). Mais dans les arrête de jeu, Farfan, le meilleur joueur côté allemand, a enlevé tout suspens en piquant sa balle au-dessus du gardien adverse abandonné par sa défense (3-1, 90+4).
Le match a démarré sur un bon rythme, Schalke ne cherchant pas à garder l'avantage du but à l'extérieur inscrit à l'aller (1-1).
Valence s'est toutefois créé la première occasion, grâce à Jérémy Mathieu, oublié par la défense, qui a tiré au ras du poteau de Neuer (8) du gauche des 16 mètres après un corner à ras-de-terre.
Les Allemands ont répliqué par Gavranovic, idéalement servi par Jurado, mais sa tête seul à 9 mètres des buts a été facilement arrêtée par Guaita (14).
Au sortir du quart d'heure de jeu, les Valencians ont ouvert le score, sur un débordement de Topal qui a adressé un centre très tendu sur la tête de Ricardo Costa, dont on ne sait pas s'il a voulu reprendre la balle ou l'éviter sur l'action, mais qui a marqué (0-1, 17).
Farfan intenable
Le match est ensuite tombé dans un faux rythme, et il a fallu une merveille de coup-franc enroulé et tendu du droit de Farfan, à vingt mètres, pour réveiller le stade et remettre les deux équipes à égalité parfaite (1-1, 40).
Le K.-O. était tout proche en début de la deuxième période et Schalke a fait basculer le match, non sans réussite.
Sur un centre mal renvoyé par la défense, Farfan s'est emmené la balle de la cuisse et a frappé à 12 mètres des buts. Le gardien espagnol n'a pu que repousser sur Gavranovic, dont le tir de la pointe du pied a tapé les deux poteaux avant d'entrer (2-1, 52).
Aduriz, l'avant-centre de Valence, a raté ensuite deux fois l'égalisation, et donc la qualification. La première fois en reprenant à côté un centre repoussé par Metzelder (57), la deuxième en perdant un face à face avec Manuel Neuer, qui a dévié la balle au-dessus d'une manchette-réflexe du bras gauche (58).
À moins de dix minutes du coup de sifflet final, Gavranovic a manqué de porter le coup de grâce en frappant de près sur le poteau de Guaita (81). Mais dans les arrête de jeu, Farfan, le meilleur joueur côté allemand, a enlevé tout suspens en piquant sa balle au-dessus du gardien adverse abandonné par sa défense (3-1, 90+4).