Une première pour l'Impact depuis 1998
Soccer vendredi, 19 juil. 2002. 17:06 dimanche, 15 déc. 2024. 01:37
MONTREAL L'Impact a atteint le cap de la mi-saison et peut entrevoir la deuxième portion du calendrier avec optimisme puisque pour la première fois depuis 1998, le onze montréalais est en bonne position pour participer aux séries éliminatoires de la A-League.
«Avec l'arrivée de Bob Lilley au poste d'entraîneur, notre attitude a changé, déclare le capitaine Mauro Biello. Il a amené de nouveaux joueurs avec lui, mais il a aussi fait en sorte qu'on croit en son système.»
En vertu de son dossier de 7-5-2, l'Impact se trouve au deuxième rang de la section Nord-Est, ce qui serait suffisant pour prendre part aux séries. Il s'agit du meilleur début de saison de l'équipe depuis 1998. Le onze montréalais avait alors présenté une fiche de 11-3, comparativement à 2-9-3 en 2000 et 5-8-1 en 2001. L'Impact n'avait pas joué en 1999.
«Ça nous permet de respirer un peu, dit Biello. Au cours des deux dernières années, à la mi-saison, il fallait déjà calculer qu'il fallait remporter 10 de nos 14 derniers matchs pour avoir une chance de participer aux séries. Ce n'est pas le cas cette fois.
«Nous avons un petit coussin et nous pouvons jouer de façon moins tendue, même si à ce point-ci nous ne nous contenterons pas de simplement nous qualifier pour les séries. Nous avons battu certaines des meilleures équipes de la ligue et nous devrons jouer à notre meilleur niveau tous les soirs d'ici la fin.»
«Nous avons simplement essayé de développer une attitude de gagnants, souligne l'entraîneur Lilley. Les joueurs se sont ralliés et ils n'ont pas été égoïstes. Ce groupe a un bel avenir à la condition de ne pasperdre ses objectifs de vue.»
L'Impact n'a accordé que 12 buts en 14 rencontres. Il faut remonter jusqu'en 1997 pour retrouver une défensive montréalaise aussi avare. Au même point en 2001 et 1998, elle avait encaissé 17 buts et 26 en 2000.
«Il y a toujours eu de bons défenseurs à Montréal, dit Lilley. Ce que nous avons essayé, c'est de trouver une façon de défendre en équipe.»
«Bob s'est amené et il a mis beaucoup d'emphase sur la défensive, explique Biello. Toutes les équipes qui se rendent loin en séries sont solides en défense.»
Lilley admet que l'attaque aurait pu produire davantage, mais elle a néanmoins marqué 15 fois. Il s'agit d'une légère amélioration par rapport aux deux dernières saisons (13).
«Les chiffres ne le démontrent pas, admet Biello. Mais avec des joueurs comme Eduardo Sebrango, Patrice Bernier, Zé Roberto et Mark Rowland, c'est notre meilleure formation en attaque depuis plusieurs années. Ça faisait longtemps qu'on avait créé autant de chances de marquer à chaque match.
«Si nous pouvons continuer de bien défendre tout en marquant des buts à la mesure de notre potentiel, nous serons une équipe à craindre en deuxième moitié de saison.»
La popularité de l'Impact est également à la hausse. L'équipe a attiré des foules de plus de 5000 personnes à son match d'ouverture ainsi qu'à ses deux derniers affrontements, pour une moyenne de 3706 spectateurs par match en huit rencontres à domicile, comparativement à 2050 l'an dernier. L'organisation montréalaise vient au quatrième rang à ce chapitre dans la A-League.
«Avec l'arrivée de Bob Lilley au poste d'entraîneur, notre attitude a changé, déclare le capitaine Mauro Biello. Il a amené de nouveaux joueurs avec lui, mais il a aussi fait en sorte qu'on croit en son système.»
En vertu de son dossier de 7-5-2, l'Impact se trouve au deuxième rang de la section Nord-Est, ce qui serait suffisant pour prendre part aux séries. Il s'agit du meilleur début de saison de l'équipe depuis 1998. Le onze montréalais avait alors présenté une fiche de 11-3, comparativement à 2-9-3 en 2000 et 5-8-1 en 2001. L'Impact n'avait pas joué en 1999.
«Ça nous permet de respirer un peu, dit Biello. Au cours des deux dernières années, à la mi-saison, il fallait déjà calculer qu'il fallait remporter 10 de nos 14 derniers matchs pour avoir une chance de participer aux séries. Ce n'est pas le cas cette fois.
«Nous avons un petit coussin et nous pouvons jouer de façon moins tendue, même si à ce point-ci nous ne nous contenterons pas de simplement nous qualifier pour les séries. Nous avons battu certaines des meilleures équipes de la ligue et nous devrons jouer à notre meilleur niveau tous les soirs d'ici la fin.»
«Nous avons simplement essayé de développer une attitude de gagnants, souligne l'entraîneur Lilley. Les joueurs se sont ralliés et ils n'ont pas été égoïstes. Ce groupe a un bel avenir à la condition de ne pasperdre ses objectifs de vue.»
L'Impact n'a accordé que 12 buts en 14 rencontres. Il faut remonter jusqu'en 1997 pour retrouver une défensive montréalaise aussi avare. Au même point en 2001 et 1998, elle avait encaissé 17 buts et 26 en 2000.
«Il y a toujours eu de bons défenseurs à Montréal, dit Lilley. Ce que nous avons essayé, c'est de trouver une façon de défendre en équipe.»
«Bob s'est amené et il a mis beaucoup d'emphase sur la défensive, explique Biello. Toutes les équipes qui se rendent loin en séries sont solides en défense.»
Lilley admet que l'attaque aurait pu produire davantage, mais elle a néanmoins marqué 15 fois. Il s'agit d'une légère amélioration par rapport aux deux dernières saisons (13).
«Les chiffres ne le démontrent pas, admet Biello. Mais avec des joueurs comme Eduardo Sebrango, Patrice Bernier, Zé Roberto et Mark Rowland, c'est notre meilleure formation en attaque depuis plusieurs années. Ça faisait longtemps qu'on avait créé autant de chances de marquer à chaque match.
«Si nous pouvons continuer de bien défendre tout en marquant des buts à la mesure de notre potentiel, nous serons une équipe à craindre en deuxième moitié de saison.»
La popularité de l'Impact est également à la hausse. L'équipe a attiré des foules de plus de 5000 personnes à son match d'ouverture ainsi qu'à ses deux derniers affrontements, pour une moyenne de 3706 spectateurs par match en huit rencontres à domicile, comparativement à 2050 l'an dernier. L'organisation montréalaise vient au quatrième rang à ce chapitre dans la A-League.