Une victoire qui soulage chez l'Impact
Soccer samedi, 7 avr. 2012. 16:22 dimanche, 15 déc. 2024. 09:51
MONTRÉAL - Les joueurs de l'Impact de Montréal se disaient toujours en confiance cette semaine, mais le soulagement d'avoir finalement pu inscrire cette première victoire au classement était palpable dans le vestiaire de l'équipe après la rencontre contre le Toronto FC, samedi.
«C'est un très bon sentiment que de finalement nous sentir récompensés pour tous les efforts que l'on met, a indiqué le millieu de terrain Collen Warner. Il y a beaucoup de travail qui a été mis dans cette première victoire. Ça a pris du temps, mais c'est très gratifiant.»
«Je pense qu'on peut tous se sentir soulagés, autant les joueurs que le personnel d'entraîneurs ou les partisans, a dit le capitaine Davy Arnaud, absent du onze partant pour la première fois de la saison. C'est bon de finalement récolter cette première victoire, d'être enfin récompensés pour tout le dur travail accompli en groupe. C'est aussi fabuleux de pouvoir réussir cela à domicile.»
C'est précisément à ses joueurs que l'entraîneur-chef Jesse Marsch pensait après le match.
«Je suis surtout content pour eux. Ils ont tous acheté ce qu'on leur a proposé. Ils ont bien répondu aux défis que nous leurs avons lancés. Je veux qu'ils se sentent bien. Mais mon défi à moi est de leur faire sentir que ce n'est pas une finalité, que le travail ne fait que commencer.»
Marsch aurait pu dire: «à recommencer», puisque l'Impact disputera ses deux prochains matchs sur les pelouses adverses samedi le 14, à Dallas, et mercredi le 18, à Washington où il n'a toujours pas récolté un seul point jusqu'ici. Six des huit premiers duels de l'équipe d'expansion auront été joués à l'étranger après cette séquence, une situation frustrante pour l'entraîneur.
«Très frustrant, a-t-il dit, en insistant sur le 'très'. On aimerait un peu plus de repos maison, mais la ligue a décidé de nous mettre rapidement au défi. On a discuté en équipe de l'ampleur que représente ce défi, de se serrer les coudes et de nous en sortir de la bonne façon.
«Nous avons joué de malchance parfois au cours de nos cinq premiers matchs. Mais on est très satisfaits de notre équipe, car nous avons connu des bons moments dans plusieurs de ces matchs. On va continuer à aller de l'avant avec confiance.»
Tous les joueurs rencontrés estiment d'ailleurs que cette victoire représente le tonus dont avait besoin l'équipe pour remettre sa saison sur les rails.
«Absolument, a indiqué Sinisa Ubiparipovic, auteur du premier but des siens à son premier match de la campagne. Nous en avions dangereusement besoin. Nous devions nous assurer de donner le meilleur de nous-mêmes. On souhaitait un but rapide, ce qu'on a pu obtenir», a ajouté celui qui a ouvert la marque à la 18e minute.
«Oui, je crois que cette victoire survient à très bon moment pour nous, a pour sa part noté Arnaud. Si on n'obtient pas un bon résultat (samedi), on se retrouve dans une situation où on doit de nouveau travailler d'arrache-pied sur la route.»
Bernier n'a pas joué
Comme tous le croyaient à la suite de l'entraînement de vendredi, le milieu de terrain québécois Patrice Bernier n'a pas fait partie de la formation partante. En fait, Bernier n'a pas vu une seule seconde d'action au cours de ce match.
Marsch a indiqué avoir trouvé difficile d'annoncer au vétéran de 32 ans qu'il ne serait pas du onze partant.
«Dans le cas de Patrice, le plan était de le reposer à Salt Lake City et de la faire jouer (samedi. Mais nous avons trouvé que Collen (Warner) avait offert une très bonne performance. D'un autre côté, j'ai trouvé que Patrice avait très bien joué samedi dernier, à New York, peut-être son meilleur match de la saison.
«Je sais que Patrice est un bon joueur. Ce n'est pas facile pour lui. Mais nous savons que c'est un bon joueur. Ce sera une longue saison. Il sera un morceau important de cette équipe et c'est un grand professionnel, il sait comment se conduire de la bonne façon. Il sait que l'équipe doit passer en premier.»
De son côté, Bernier n'a pas rencontré les médias.
Wenger heureux d'obtenir son premier but
Tout premier choix de l'histoire de la concession montréalaise, Andrew Wenger était très heureux d'avoir obtenu son premier but chez les professionnels.
«Ça permet d'enlever du poids sur mes épaules, a noté le milieu de terrain américain de 21 ans. Mais comme je l'ai déjà dit, le plus important, c'est de gagner.»
Les journalistes n'ont pas manquer de faire remarquer à Marsch qu'il a marqué ce premier but avant Darren Mattocks, sélectionné au deuxième rang par les Whitecaps de Vancouver.
«Depuis le début, nous voyons de grandes choses en Andrew, a noté Marsch, qui aurait souhaité esquiver cette comparaison. C'est naturel que Darren et lui soient comparés. Peut-être qu'ils le seront pour le reste de leur carrière.»
«C'est un très bon sentiment que de finalement nous sentir récompensés pour tous les efforts que l'on met, a indiqué le millieu de terrain Collen Warner. Il y a beaucoup de travail qui a été mis dans cette première victoire. Ça a pris du temps, mais c'est très gratifiant.»
«Je pense qu'on peut tous se sentir soulagés, autant les joueurs que le personnel d'entraîneurs ou les partisans, a dit le capitaine Davy Arnaud, absent du onze partant pour la première fois de la saison. C'est bon de finalement récolter cette première victoire, d'être enfin récompensés pour tout le dur travail accompli en groupe. C'est aussi fabuleux de pouvoir réussir cela à domicile.»
C'est précisément à ses joueurs que l'entraîneur-chef Jesse Marsch pensait après le match.
«Je suis surtout content pour eux. Ils ont tous acheté ce qu'on leur a proposé. Ils ont bien répondu aux défis que nous leurs avons lancés. Je veux qu'ils se sentent bien. Mais mon défi à moi est de leur faire sentir que ce n'est pas une finalité, que le travail ne fait que commencer.»
Marsch aurait pu dire: «à recommencer», puisque l'Impact disputera ses deux prochains matchs sur les pelouses adverses samedi le 14, à Dallas, et mercredi le 18, à Washington où il n'a toujours pas récolté un seul point jusqu'ici. Six des huit premiers duels de l'équipe d'expansion auront été joués à l'étranger après cette séquence, une situation frustrante pour l'entraîneur.
«Très frustrant, a-t-il dit, en insistant sur le 'très'. On aimerait un peu plus de repos maison, mais la ligue a décidé de nous mettre rapidement au défi. On a discuté en équipe de l'ampleur que représente ce défi, de se serrer les coudes et de nous en sortir de la bonne façon.
«Nous avons joué de malchance parfois au cours de nos cinq premiers matchs. Mais on est très satisfaits de notre équipe, car nous avons connu des bons moments dans plusieurs de ces matchs. On va continuer à aller de l'avant avec confiance.»
Tous les joueurs rencontrés estiment d'ailleurs que cette victoire représente le tonus dont avait besoin l'équipe pour remettre sa saison sur les rails.
«Absolument, a indiqué Sinisa Ubiparipovic, auteur du premier but des siens à son premier match de la campagne. Nous en avions dangereusement besoin. Nous devions nous assurer de donner le meilleur de nous-mêmes. On souhaitait un but rapide, ce qu'on a pu obtenir», a ajouté celui qui a ouvert la marque à la 18e minute.
«Oui, je crois que cette victoire survient à très bon moment pour nous, a pour sa part noté Arnaud. Si on n'obtient pas un bon résultat (samedi), on se retrouve dans une situation où on doit de nouveau travailler d'arrache-pied sur la route.»
Bernier n'a pas joué
Comme tous le croyaient à la suite de l'entraînement de vendredi, le milieu de terrain québécois Patrice Bernier n'a pas fait partie de la formation partante. En fait, Bernier n'a pas vu une seule seconde d'action au cours de ce match.
Marsch a indiqué avoir trouvé difficile d'annoncer au vétéran de 32 ans qu'il ne serait pas du onze partant.
«Dans le cas de Patrice, le plan était de le reposer à Salt Lake City et de la faire jouer (samedi. Mais nous avons trouvé que Collen (Warner) avait offert une très bonne performance. D'un autre côté, j'ai trouvé que Patrice avait très bien joué samedi dernier, à New York, peut-être son meilleur match de la saison.
«Je sais que Patrice est un bon joueur. Ce n'est pas facile pour lui. Mais nous savons que c'est un bon joueur. Ce sera une longue saison. Il sera un morceau important de cette équipe et c'est un grand professionnel, il sait comment se conduire de la bonne façon. Il sait que l'équipe doit passer en premier.»
De son côté, Bernier n'a pas rencontré les médias.
Wenger heureux d'obtenir son premier but
Tout premier choix de l'histoire de la concession montréalaise, Andrew Wenger était très heureux d'avoir obtenu son premier but chez les professionnels.
«Ça permet d'enlever du poids sur mes épaules, a noté le milieu de terrain américain de 21 ans. Mais comme je l'ai déjà dit, le plus important, c'est de gagner.»
Les journalistes n'ont pas manquer de faire remarquer à Marsch qu'il a marqué ce premier but avant Darren Mattocks, sélectionné au deuxième rang par les Whitecaps de Vancouver.
«Depuis le début, nous voyons de grandes choses en Andrew, a noté Marsch, qui aurait souhaité esquiver cette comparaison. C'est naturel que Darren et lui soient comparés. Peut-être qu'ils le seront pour le reste de leur carrière.»