Y a-t-il des dissensions chez l'Impact?
Soccer mercredi, 24 oct. 2012. 19:56 jeudi, 12 déc. 2024. 09:04
Voilà quelques jours que les rumeurs circulent concernant des divisions entre Européens et Nord-Américains chez l'Impact.
Les Italiens Matteo Ferrari, Alessandro Nesta, Marco Di Vaio sont arrivés en MLS avec un bagage d'expérience au niveau international.
Jesse Marsch confirme que des divergences d'opinion peuvent survenir, mais que les choses se font dans le respect.
« Il y a parfois des différences philosophiques au niveau tactique, mais les Italiens apportent de nouvelles idées », soutient l'entraîneur-chef de l'Impact. « Nous incluons ces idées. Nous tentons d'incorporer les idées de tout le monde, pour ne faire qu'un en bout de ligne. »
« Le pays, la façon de jouer, tout est différent. Alessandro, Marco et moi devons nous adapter. Je pense que tout se passe plutôt bien », raconte Matteo Ferrari.
« Leur influence est fantastique. La chimie est à son meilleur dans notre équipe et nous pourrons faire des dommages l'an prochain », explique pour sa part Jeb Brovsky.
Quand on dresse un bilan de la saison de l'Impact, on ne peut ignorer les résultats sur les terrains adverses. Les Montréalais ont subi 12 défaites en 15 rencontres à l'étranger, un point à améliorer l'an prochain si l'équipe espère accéder aux séries.
« On n'a pas trouvé le plan B qu'il nous fallait quand notre plan A ne fonctionne pas », souligne Patrice Bernier. « On n'a également manqué de chances à plusieurs reprises. Notre inexpérience et notre manque de concentration a fini par peser dans la balance. »
L'histoire de Patrice Bernier est digne de mention. Après avoir été laissé de côté plusieurs fois en début de saison, le Québécois a prouvé sa valeur en prenant la tête des pointeurs avec neuf buts et huit passes. Bernier est fier de son parcours.
« Je suis heureux d'avoir pu jouer de ma façon et d'avoir contribué aux succès de l'équipe. »
Outre l'objectif de coiffer Vancouver comme meilleure équipe canadienne de la MLS cette saison, l'Impact tentera de balayer sa série de trois matchs contre le Revolution de la Nouvelle-Angleterre, samedi. Les Montréalais espèrent également porter à huit leur séquence de matchs sans défaite au stade Saputo.
D'après un reportage de Patrick Friolet
Les Italiens Matteo Ferrari, Alessandro Nesta, Marco Di Vaio sont arrivés en MLS avec un bagage d'expérience au niveau international.
Jesse Marsch confirme que des divergences d'opinion peuvent survenir, mais que les choses se font dans le respect.
« Il y a parfois des différences philosophiques au niveau tactique, mais les Italiens apportent de nouvelles idées », soutient l'entraîneur-chef de l'Impact. « Nous incluons ces idées. Nous tentons d'incorporer les idées de tout le monde, pour ne faire qu'un en bout de ligne. »
« Le pays, la façon de jouer, tout est différent. Alessandro, Marco et moi devons nous adapter. Je pense que tout se passe plutôt bien », raconte Matteo Ferrari.
« Leur influence est fantastique. La chimie est à son meilleur dans notre équipe et nous pourrons faire des dommages l'an prochain », explique pour sa part Jeb Brovsky.
Quand on dresse un bilan de la saison de l'Impact, on ne peut ignorer les résultats sur les terrains adverses. Les Montréalais ont subi 12 défaites en 15 rencontres à l'étranger, un point à améliorer l'an prochain si l'équipe espère accéder aux séries.
« On n'a pas trouvé le plan B qu'il nous fallait quand notre plan A ne fonctionne pas », souligne Patrice Bernier. « On n'a également manqué de chances à plusieurs reprises. Notre inexpérience et notre manque de concentration a fini par peser dans la balance. »
L'histoire de Patrice Bernier est digne de mention. Après avoir été laissé de côté plusieurs fois en début de saison, le Québécois a prouvé sa valeur en prenant la tête des pointeurs avec neuf buts et huit passes. Bernier est fier de son parcours.
« Je suis heureux d'avoir pu jouer de ma façon et d'avoir contribué aux succès de l'équipe. »
Outre l'objectif de coiffer Vancouver comme meilleure équipe canadienne de la MLS cette saison, l'Impact tentera de balayer sa série de trois matchs contre le Revolution de la Nouvelle-Angleterre, samedi. Les Montréalais espèrent également porter à huit leur séquence de matchs sans défaite au stade Saputo.
D'après un reportage de Patrick Friolet
