Zidane, vainqueur à l'applaudimètre
Soccer mercredi, 5 juil. 2006. 15:26 dimanche, 2 mars 2025. 05:07
MUNICH (AFP) - Zinédine Zidane est sorti vainqueur à l'applaudimètre de la présentation des joueurs avant Portugal-France, mercredi en demi-finale du Mondial-2006 de soccer, dans le stade de Munich, sans réelle dominante de couleur.
Les fans de la Selecçao étaient arrivés les premiers dans le stade, déployant leurs drapeaux rouge et vert ainsi que des calicots célébrant certains clubs portugais, comme Braga (nord du pays).
Le maillot rouge frappé du numéro 20, celui de Deco, revenait le plus souvent dans les rangs lusitaniens. Des Mexicains égarés, avec leur sombreros géants, s'étaient glissés parmi eux.
Les maillots bleus déferlaient 45 minutes avant le coup d'envoi. Parmi eux, un sosie de Barthez, lunettes noires sur le nez, se faisait embrasser le crâne par un fan portant un masque de Jacques Chirac, rejouant une des scènes célèbres du sacre de 1998 filmée dans les vestiaires tricolores.
Le vrai président Chirac regardait le match depuis l'Elysée à Paris, tandis que son Premier ministre Dominique de Villepin s'était déplacé à Munich. Les pancartes "Bonjour Zinédine" fleurissaient dans les gradins, ainsi qu'un drapeau tricolore "Old France is magic" (la vieille france est magique, référence à la vieille garde des Zidane, Thuram et Vieira).
A une heure et demie de la rencontre, le Portugais Tiago, en survêtement, était allé saluer ses partenaires de Lyon dans les rangs français, Coupet, Wiltord et Govou, qui étaient, eux, en costume.
Mais au moment des hymnes nationaux ces instants de détente n'étaient plus que de l'histoire ancienne.
Les fans de la Selecçao étaient arrivés les premiers dans le stade, déployant leurs drapeaux rouge et vert ainsi que des calicots célébrant certains clubs portugais, comme Braga (nord du pays).
Le maillot rouge frappé du numéro 20, celui de Deco, revenait le plus souvent dans les rangs lusitaniens. Des Mexicains égarés, avec leur sombreros géants, s'étaient glissés parmi eux.
Les maillots bleus déferlaient 45 minutes avant le coup d'envoi. Parmi eux, un sosie de Barthez, lunettes noires sur le nez, se faisait embrasser le crâne par un fan portant un masque de Jacques Chirac, rejouant une des scènes célèbres du sacre de 1998 filmée dans les vestiaires tricolores.
Le vrai président Chirac regardait le match depuis l'Elysée à Paris, tandis que son Premier ministre Dominique de Villepin s'était déplacé à Munich. Les pancartes "Bonjour Zinédine" fleurissaient dans les gradins, ainsi qu'un drapeau tricolore "Old France is magic" (la vieille france est magique, référence à la vieille garde des Zidane, Thuram et Vieira).
A une heure et demie de la rencontre, le Portugais Tiago, en survêtement, était allé saluer ses partenaires de Lyon dans les rangs français, Coupet, Wiltord et Govou, qui étaient, eux, en costume.
Mais au moment des hymnes nationaux ces instants de détente n'étaient plus que de l'histoire ancienne.