Anthony Galea reçoit sa peine vendredi
Sports divers vendredi, 16 déc. 2011. 09:09 dimanche, 15 déc. 2024. 13:35
BUFFALO, États-Unis - Le Dr Anthony Galea, un médecin canadien qui a traité des vedettes du sport très connues telles le golfeur Tiger Woods et le joueur de baseball Alex Rodriguez, reçoit sa peine ce vendredi, à Buffalo.
En juillet dernier, le Dr Galea a plaidé coupable en cour fédérale américaine à des accusations d'avoir transporté illégalement aux États-Unis des médicaments non approuvés.
Le Dr Galea, un médecin spécialiste de Toronto, a aussi été inculpé par un grand jury, en octobre 2010, d'avoir comploté et menti à des douaniers pour éviter de se faire prendre.
Le médecin, qui ne disposait pas de permis de travail aux États-Unis, a été accusé d'avoir traité 20 athlètes professionnels à leur domicile, dans des hôtels et chez des amis d'octobre 2007 à septembre 2009.
Le médecin a plaidé coupable, ce qui lui a évité un procès, donc, une divulgation de preuves qui auraient permis d'identifier ses clients. Il risque néanmoins de 12 à 18 mois d'emprisonnement.
Jeudi, à la veille du prononcé de la peine, il a fait transmettre à un juge fédéral américain une lettre dans laquelle il a écrit ses regrets d'avoir contrevenu aux lois des États-Unis.
En juillet dernier, le Dr Galea a plaidé coupable en cour fédérale américaine à des accusations d'avoir transporté illégalement aux États-Unis des médicaments non approuvés.
Le Dr Galea, un médecin spécialiste de Toronto, a aussi été inculpé par un grand jury, en octobre 2010, d'avoir comploté et menti à des douaniers pour éviter de se faire prendre.
Le médecin, qui ne disposait pas de permis de travail aux États-Unis, a été accusé d'avoir traité 20 athlètes professionnels à leur domicile, dans des hôtels et chez des amis d'octobre 2007 à septembre 2009.
Le médecin a plaidé coupable, ce qui lui a évité un procès, donc, une divulgation de preuves qui auraient permis d'identifier ses clients. Il risque néanmoins de 12 à 18 mois d'emprisonnement.
Jeudi, à la veille du prononcé de la peine, il a fait transmettre à un juge fédéral américain une lettre dans laquelle il a écrit ses regrets d'avoir contrevenu aux lois des États-Unis.