Dubreucq et Parekh provisoirement 2e à Kingston
Sports divers mardi, 25 août 2009. 20:12 samedi, 14 déc. 2024. 01:44
Matthieu Dubreucq et Trevor Parekh sont au deuxième échelon du classement des Championnats nord-américains de voile pour les dériveurs de type 49er au terme des 12 premières manches à Kingston, en Ontario.
Seuls les Ontariens Billy Gooderham et Ian Hogan devancent les Québécois. « Ce sont nos éternels rivaux qui sont en avant. Ce sont des gars que nous devons battre », a affirmé Dubreucq.
Le Montréalais et Parekh, de Dorval, ont tous les deux effectué un retour à la compétition cette saison. « Avant, nous faisions de la voile l'un contre l'autre », a mentionné Dubreucq, qui avait mis en veilleuse sa carrière en février 2007, faute de budget.
Après avoir participé à une seule manche dimanche, les compétiteurs ont eu un horaire plus que chargé ces deux derniers jours, prenant part à six courses lundi et cinq mardi. « Nous sommes un peu fatigués », a avoué celui qui a fêté ses 27 ans mardi.
« Il faut que nous travaillons notre voile dans les vagues. À Kingston, il y en a pas mal, alors c'est bien. Dans les vents légers, nous nous sommes cependant beaucoup améliorés au niveau tactique et vitesse », a expliqué Dubreucq.
« Nous étions déjà deuxièmes hier (lundi). Nous sommes les gars qui ont les résultats les plus constants. Il va maintenant falloir prendre quelque risques », a conclu le Montréalais.
Seuls les Ontariens Billy Gooderham et Ian Hogan devancent les Québécois. « Ce sont nos éternels rivaux qui sont en avant. Ce sont des gars que nous devons battre », a affirmé Dubreucq.
Le Montréalais et Parekh, de Dorval, ont tous les deux effectué un retour à la compétition cette saison. « Avant, nous faisions de la voile l'un contre l'autre », a mentionné Dubreucq, qui avait mis en veilleuse sa carrière en février 2007, faute de budget.
Après avoir participé à une seule manche dimanche, les compétiteurs ont eu un horaire plus que chargé ces deux derniers jours, prenant part à six courses lundi et cinq mardi. « Nous sommes un peu fatigués », a avoué celui qui a fêté ses 27 ans mardi.
« Il faut que nous travaillons notre voile dans les vagues. À Kingston, il y en a pas mal, alors c'est bien. Dans les vents légers, nous nous sommes cependant beaucoup améliorés au niveau tactique et vitesse », a expliqué Dubreucq.
« Nous étions déjà deuxièmes hier (lundi). Nous sommes les gars qui ont les résultats les plus constants. Il va maintenant falloir prendre quelque risques », a conclu le Montréalais.