Moins de 2 jours d'avance pour MacArthur
Sports divers vendredi, 21 janv. 2005. 12:35 dimanche, 15 déc. 2024. 00:55
LONDRES (AFP) - La navigatrice britannique Ellen MacArthur, qui tente de battre le record du tour du monde en solitaire et sans escale à la voile, comptait moins de 2 jours d'avance vendredi sur le temps du Français Francis Joyon, détenteur du record en un peu moins de 73 jours.
Selon son site internet (www.teamellen.com), Ellen MacArthur paye le prix de l'avarie dans le mât de son trimaran, qui l'a obligée à ralentir le voilier pendant plusieurs précieuses heures.
L'avarie a eu lieu au niveau du chariot de têtière, l'une des pièces permettant de faire coulisser la grand-voile le long du mât grâce à un rail. Le chariot s'est détaché du rail, endommageant ce dernier.
Le problème a été finalement réparé jeudi soir, après qu'elle soit montée à deux reprises en tête de mât, haut de 25 mètres. Une opération dangereuse, épuisante physiquement et nerveusement.
"Ca y est ! C'est fait ! J'ai terminé la réparation, a-t-elle affirmé jeudi soir à son équipe technique. Tout est terminé ! Les dégâts au niveau du premier ris n'étaient pas très importants, pas comme le deuxième ris..."
"Je me suis coupé le pouce quand j'étais là haut et je me suis mise à rire toute seule quand j'ai vu le sang couler parce que j'ai pensé au docteur qui m'aurait dit de bien le tenir en l'air, a-t-elle ajouté. A 25 mètres de haut, je ne pouvais pas faire mieux ! J'ai du mal à croire tout ce que je viens de traverser depuis deux semaines. Je suis épuisée !"
Selon son site internet (www.teamellen.com), Ellen MacArthur paye le prix de l'avarie dans le mât de son trimaran, qui l'a obligée à ralentir le voilier pendant plusieurs précieuses heures.
L'avarie a eu lieu au niveau du chariot de têtière, l'une des pièces permettant de faire coulisser la grand-voile le long du mât grâce à un rail. Le chariot s'est détaché du rail, endommageant ce dernier.
Le problème a été finalement réparé jeudi soir, après qu'elle soit montée à deux reprises en tête de mât, haut de 25 mètres. Une opération dangereuse, épuisante physiquement et nerveusement.
"Ca y est ! C'est fait ! J'ai terminé la réparation, a-t-elle affirmé jeudi soir à son équipe technique. Tout est terminé ! Les dégâts au niveau du premier ris n'étaient pas très importants, pas comme le deuxième ris..."
"Je me suis coupé le pouce quand j'étais là haut et je me suis mise à rire toute seule quand j'ai vu le sang couler parce que j'ai pensé au docteur qui m'aurait dit de bien le tenir en l'air, a-t-elle ajouté. A 25 mètres de haut, je ne pouvais pas faire mieux ! J'ai du mal à croire tout ce que je viens de traverser depuis deux semaines. Je suis épuisée !"