Paralympiques: La France au sommet
Sports divers lundi, 13 mars 2006. 10:36 samedi, 14 déc. 2024. 22:48
SESTRIERES (AFP) - La France a pris la tête du classement des médailles lundi à l'issue de la troisième journée des 9e Jeux paralympiques d'hiver de Turin-Sestrières, grâce à la victoire la jeune skieuse Solène Jambaqué chez les femmes en super géant "debout".
Jambaqué a apporté à la France sa quatrième médaille d'or, ajoutant à son palmarès personnel une deuxième récompense suprême après son succès en descente samedi chez les skieuses "debout" (par opposition aux athlètes paraplégiques en fauteuil).
L'espace d'un jour, la France a l'honneur de devancer les grands favoris (dans l'ordre au classement, Russie, Ukraine, Allemagne et Etats-Unis).
"C'est comme un rêve, je suis sur un nuage", s'est enthousiasmée Jambaqué, 18 ans le 14 avril.
Hémiplégique, pouvant marcher normalement, la Française a réalisé un temps de 1 min 14 sec 13, en tenant compte du coefficient qui pondère son chrono en fonction de son degré de handicap, comme pour tous les skieurs "debout".
La Française a devancé la Canadienne Lauren Woolstencroft (1:16.13) et l'Autrichienne Danja Haslacher (1:18.47).
Jambaqué, qui vise encore des podiums en slalom géant jeudi et slalom samedi, est a priori moins handicapée que certaines de ses rivales amputées d'un bras ou d'une jambe. Elle s'en défend en rappelant que les coefficients sont précisément là pour garantir l'égalité des chances.
Chez les messieurs, l'Autrichien Walter Lackner a remporté l'épreuve du super G (1:11.87) devant l'Allemand Gerd Schoenfelder (1:12.76) et l'Australien Toby Kane (1:18.06).
Mardi, c'est au tour des skieurs "assis" et déficients visuels de courir le super G. D'autres médailles seront distribuées en biathlon, spécialité russe ou ukrainienne. La France ne devrait pas rester en tête plus de 24 heures.
Jambaqué a apporté à la France sa quatrième médaille d'or, ajoutant à son palmarès personnel une deuxième récompense suprême après son succès en descente samedi chez les skieuses "debout" (par opposition aux athlètes paraplégiques en fauteuil).
L'espace d'un jour, la France a l'honneur de devancer les grands favoris (dans l'ordre au classement, Russie, Ukraine, Allemagne et Etats-Unis).
"C'est comme un rêve, je suis sur un nuage", s'est enthousiasmée Jambaqué, 18 ans le 14 avril.
Hémiplégique, pouvant marcher normalement, la Française a réalisé un temps de 1 min 14 sec 13, en tenant compte du coefficient qui pondère son chrono en fonction de son degré de handicap, comme pour tous les skieurs "debout".
La Française a devancé la Canadienne Lauren Woolstencroft (1:16.13) et l'Autrichienne Danja Haslacher (1:18.47).
Jambaqué, qui vise encore des podiums en slalom géant jeudi et slalom samedi, est a priori moins handicapée que certaines de ses rivales amputées d'un bras ou d'une jambe. Elle s'en défend en rappelant que les coefficients sont précisément là pour garantir l'égalité des chances.
Chez les messieurs, l'Autrichien Walter Lackner a remporté l'épreuve du super G (1:11.87) devant l'Allemand Gerd Schoenfelder (1:12.76) et l'Australien Toby Kane (1:18.06).
Mardi, c'est au tour des skieurs "assis" et déficients visuels de courir le super G. D'autres médailles seront distribuées en biathlon, spécialité russe ou ukrainienne. La France ne devrait pas rester en tête plus de 24 heures.