Parlier attend les vents favorables
Sports divers mercredi, 29 nov. 2000. 12:12 samedi, 14 déc. 2024. 20:06
PARIS (AFP) - Le navigateur Yves Parlier (Aquitaine Innovations), qui occupait toujours mercredi la première place du Vendée Globe, course autour du monde, en solitaire, sans escale et sans assistance, espère toucher rapidement les vents d'Ouest qui marqueront son entrée dans le grand Sud, autour de l'Antarctique.
Vingt-et-un jours après le départ de la course, deux petits changements sont intervenus au classement général: le Suisse Dominique Wavre (UBC) s'est hissé à la sixième place, au détriment de Thomas Coville (Sodebo), désormais septième, devant Marc Thiercelin (Active Wear) et Thierry Dubois (Solidaires).
"J'ai hâte d'arriver dans le Sud", s'est exclamé Yves Parlier, qui comptait mercredi 152 milles d'avance sur son premier poursuivant, Michel Desjoyeaux (PRB). "Pour moi l'Océan Indien et Pacifique sont les plus belles parties de ce parcours. J'adore le vent fort et la grosse houle qui font surfer les bateaux. Il y a un vrai engagement. On est exposé pendant un bon mois, la sortie, c'est le Cap Horn. Ce sont des moments où l'on vit avec intensité".
En attendant, Yves Parlier a poursuivi sa progression en tête de la flotte. "La place n'est pas acquise, estime-t-il. 150 milles d'avance c'est bien, mais nous venons de terminer les 1/5e du parcours. Beaucoup de route reste à faire et beaucoup de choses peuvent arriver. Il y en a quatre derrière moi qui sont aux aguets et qui attendent que je fasse une erreur".
Les autres navigateurs profitent des derniers moments de calme relatif pour inspecter leur bateau. "Déjà, il fait moins chaud dans le bateau, c'est plus tempéré, a constaté Michel Desjoyeaux. Je profite un peu pour tout vérifier, je serais bien monté dans le mât mais j'attends une mer plus plate."
L'Anglaise Ellen MacArthur, cinquième sur Kingfisher n'a pas attendu pour effectuer les derniers réglages. "Mardi, je suis montée deux fois au mât pour vérifier des trucs. Pour monter ça va, mais c'est pour descendre que c'est plus dur! Heureusement j'ai un système qu'utilisent les escaladeurs en montagne, ça rend la montée plus facile".
Vingt-et-un jours après le départ de la course, deux petits changements sont intervenus au classement général: le Suisse Dominique Wavre (UBC) s'est hissé à la sixième place, au détriment de Thomas Coville (Sodebo), désormais septième, devant Marc Thiercelin (Active Wear) et Thierry Dubois (Solidaires).
"J'ai hâte d'arriver dans le Sud", s'est exclamé Yves Parlier, qui comptait mercredi 152 milles d'avance sur son premier poursuivant, Michel Desjoyeaux (PRB). "Pour moi l'Océan Indien et Pacifique sont les plus belles parties de ce parcours. J'adore le vent fort et la grosse houle qui font surfer les bateaux. Il y a un vrai engagement. On est exposé pendant un bon mois, la sortie, c'est le Cap Horn. Ce sont des moments où l'on vit avec intensité".
En attendant, Yves Parlier a poursuivi sa progression en tête de la flotte. "La place n'est pas acquise, estime-t-il. 150 milles d'avance c'est bien, mais nous venons de terminer les 1/5e du parcours. Beaucoup de route reste à faire et beaucoup de choses peuvent arriver. Il y en a quatre derrière moi qui sont aux aguets et qui attendent que je fasse une erreur".
Les autres navigateurs profitent des derniers moments de calme relatif pour inspecter leur bateau. "Déjà, il fait moins chaud dans le bateau, c'est plus tempéré, a constaté Michel Desjoyeaux. Je profite un peu pour tout vérifier, je serais bien monté dans le mât mais j'attends une mer plus plate."
L'Anglaise Ellen MacArthur, cinquième sur Kingfisher n'a pas attendu pour effectuer les derniers réglages. "Mardi, je suis montée deux fois au mât pour vérifier des trucs. Pour monter ça va, mais c'est pour descendre que c'est plus dur! Heureusement j'ai un système qu'utilisent les escaladeurs en montagne, ça rend la montée plus facile".