Stéfanie Vallée fait bande à part
Sports divers jeudi, 24 janv. 2002. 14:14 jeudi, 12 déc. 2024. 01:38
Montréal, - L'équipe du Québec de canoë-kayak n'est pas sitôt revenue d'un camp d'entraînement en Caroline du Nord et au Tennessee que l'une de ses athlètes, Stéfanie Vallée, a décidé de repartir s'entraîner à l'extérieur, sans ses coéquipiers québécois.
«J'aime m'entraîner avec l'équipe du Québec, mais ce n'est pas assez à ce stade-ci de mon évolution» croit Vallée, qui est prête à tout pour joindre les rangs de l'équipe canadienne. Membre de l'équipe du Québec depuis 1997 et nouvellement arrivée sur l'équipe canadienne de développement, elle tient à participer aux coupes du monde cet été. Pour cela, elle devra performer lors des épreuves de la sélection nationale en mars prochain, à Chilliwack, près de Vancouver.
«Je sentais que si je n'allais pas à Chilliwack avant la sélection canadienne, que mes chances de faire l'équipe ne seraient pas optimales» confie-t-elle. «J'avais déjà reçu une invitation spéciale de l'entraîneur de l'équipe canadienne à Noël, pour aller m'entraîner dans l'ouest, mais à ce moment là, je tenais absolument à participer au camp avec l'équipe du Québec aux États-Unis», avoue l'athlète. C'est maintenant qu'elle a décidé d'accepter l'offre de Shaun Pearce.
Quant à l'entraîneur de l'équipe du Québec, Patrick Gagné, il ne voit pas d'inconvénient à ce qu'un athlète prenne une décision de la sorte et s'éloigne du reste de l'équipe pour augmenter ses chances d'atteindre ses propres objectifs. Il a même avoué que l'initiative de son athlète est bien pensée et qu'elle se fait juste au bon moment dans sa préparation aux épreuves nationales.
Stéfanie Vallée sera à Chilliwack du 27 janvier au 9 février et poursuivra ses entraînements avec ses co-équipiers québécois, dans les eaux glacées et tumultueuses de la rivière Saint-Charles du centre d'excellence de Salaberry-de-Valleyfield, dès son retour.
«J'aime m'entraîner avec l'équipe du Québec, mais ce n'est pas assez à ce stade-ci de mon évolution» croit Vallée, qui est prête à tout pour joindre les rangs de l'équipe canadienne. Membre de l'équipe du Québec depuis 1997 et nouvellement arrivée sur l'équipe canadienne de développement, elle tient à participer aux coupes du monde cet été. Pour cela, elle devra performer lors des épreuves de la sélection nationale en mars prochain, à Chilliwack, près de Vancouver.
«Je sentais que si je n'allais pas à Chilliwack avant la sélection canadienne, que mes chances de faire l'équipe ne seraient pas optimales» confie-t-elle. «J'avais déjà reçu une invitation spéciale de l'entraîneur de l'équipe canadienne à Noël, pour aller m'entraîner dans l'ouest, mais à ce moment là, je tenais absolument à participer au camp avec l'équipe du Québec aux États-Unis», avoue l'athlète. C'est maintenant qu'elle a décidé d'accepter l'offre de Shaun Pearce.
Quant à l'entraîneur de l'équipe du Québec, Patrick Gagné, il ne voit pas d'inconvénient à ce qu'un athlète prenne une décision de la sorte et s'éloigne du reste de l'équipe pour augmenter ses chances d'atteindre ses propres objectifs. Il a même avoué que l'initiative de son athlète est bien pensée et qu'elle se fait juste au bon moment dans sa préparation aux épreuves nationales.
Stéfanie Vallée sera à Chilliwack du 27 janvier au 9 février et poursuivra ses entraînements avec ses co-équipiers québécois, dans les eaux glacées et tumultueuses de la rivière Saint-Charles du centre d'excellence de Salaberry-de-Valleyfield, dès son retour.