Team New Zealand augmente son avance
Sports divers dimanche, 3 juin 2007. 12:27 dimanche, 15 déc. 2024. 01:53
VALENCE, Espagne - Emirates New Zealand a fait un grand pas vers la victoire en Coupe Louis-Vuitton, synonyme d'accession à la Coupe de l'America, en remportant dimanche à Valence une troisième manche d'affilée conte les Italiens de Luna Rossa.
Emirates Team New Zealand, qui mène désormais par 3 manches à 0, n'est plus qu'à deux manches de la victoire finale de la Coupe Louis-Vuitton, qui ouvre l'accès à la 32e Coupe de l'America contre le tenant du titre suisse Alinghi.
Vainqueur de l'America en 1995 et en 2000, Team New Zealand attend fermement de pouvoir prendre sa revanche contre le défi suisse, qui l'avait dépossédé de son bien en 2003 en lui infligeant un 5-0 sans appel.
"Je n'avais jamais pensé que nous mènerions par 3 à 0, nous nous attendions à concéder quelques courses", a déclaré le stratège du "Team", Ray Davies.
"Le bateau allait vraiment bien aujourd'hui, nous sommes satisfaits de sa vitesse mais nous ne pouvons pas encore relâcher notre pression. Il nous faut encore gagner deux courses. Et ces mecs (Luna Rossa) sont plus que capables de nous battre", a-t-il poursuivi.
Après une première manche très disputée vendredi, puis une deuxième nettement plus à l'avantage des Néo-Zélandais, la troisième manche, dimanche, n'a pas donné lieu à un grand suspense.
"Mieux vaut être chanceux que bon"
Luna Rossa, avec James Spithill à la barre, franchissait la ligne de départ avec quatre secondes d'avance, soit une vingtaine de mètres, mais les Néo-Zélandais, emmenés par leur barreur Dean Barker, refirent leur retard en moins de cinq minutes.
"Luna Rossa a fait du beau travail en nous contrôlant, mais parfois, il vaut mieux être chanceux que bon. Le vent nous a servis et cela a été difficile pour Luna Rossa de revenir", a sobrement commenté Ray Davies.
En tête à tous les temps intermédiaires (40 à la première marque, puis 55 secondes aux deuxième et troisième), Emirates Team New Zealand coupait la ligne d'arrivée avec une avance de 1 min 38 sec.
Luna Rossa, de son côté, mettra à profit la journée de lundi, où la course fait relâche, pour tenter d'élaborer une stratégie en vue, au moins, de sauver l'honneur. Son incapacité, pour l'instant, à inquiéter le Team New Zealand peut surprendre au vu de sa performance impressionnante contre BMW Oracle en demi-finale.
"Je ne pense pas que nous ayons navigué aussi bien que nous le pouvions, a reconnu le membre australien de Luna Rossa, Ben Durham. Maintenant, nous allons aller de l'avant pour espérer obtenir une chance de mieux naviguer."
"Notre travail d'équipage est bon, a-t-il poursuivi, je suis très fier d'eux, mais ces trois derniers jours les Néo-Zélandais ont fait un meilleur travail".
Emirates Team New Zealand, qui mène désormais par 3 manches à 0, n'est plus qu'à deux manches de la victoire finale de la Coupe Louis-Vuitton, qui ouvre l'accès à la 32e Coupe de l'America contre le tenant du titre suisse Alinghi.
Vainqueur de l'America en 1995 et en 2000, Team New Zealand attend fermement de pouvoir prendre sa revanche contre le défi suisse, qui l'avait dépossédé de son bien en 2003 en lui infligeant un 5-0 sans appel.
"Je n'avais jamais pensé que nous mènerions par 3 à 0, nous nous attendions à concéder quelques courses", a déclaré le stratège du "Team", Ray Davies.
"Le bateau allait vraiment bien aujourd'hui, nous sommes satisfaits de sa vitesse mais nous ne pouvons pas encore relâcher notre pression. Il nous faut encore gagner deux courses. Et ces mecs (Luna Rossa) sont plus que capables de nous battre", a-t-il poursuivi.
Après une première manche très disputée vendredi, puis une deuxième nettement plus à l'avantage des Néo-Zélandais, la troisième manche, dimanche, n'a pas donné lieu à un grand suspense.
"Mieux vaut être chanceux que bon"
Luna Rossa, avec James Spithill à la barre, franchissait la ligne de départ avec quatre secondes d'avance, soit une vingtaine de mètres, mais les Néo-Zélandais, emmenés par leur barreur Dean Barker, refirent leur retard en moins de cinq minutes.
"Luna Rossa a fait du beau travail en nous contrôlant, mais parfois, il vaut mieux être chanceux que bon. Le vent nous a servis et cela a été difficile pour Luna Rossa de revenir", a sobrement commenté Ray Davies.
En tête à tous les temps intermédiaires (40 à la première marque, puis 55 secondes aux deuxième et troisième), Emirates Team New Zealand coupait la ligne d'arrivée avec une avance de 1 min 38 sec.
Luna Rossa, de son côté, mettra à profit la journée de lundi, où la course fait relâche, pour tenter d'élaborer une stratégie en vue, au moins, de sauver l'honneur. Son incapacité, pour l'instant, à inquiéter le Team New Zealand peut surprendre au vu de sa performance impressionnante contre BMW Oracle en demi-finale.
"Je ne pense pas que nous ayons navigué aussi bien que nous le pouvions, a reconnu le membre australien de Luna Rossa, Ben Durham. Maintenant, nous allons aller de l'avant pour espérer obtenir une chance de mieux naviguer."
"Notre travail d'équipage est bon, a-t-il poursuivi, je suis très fier d'eux, mais ces trois derniers jours les Néo-Zélandais ont fait un meilleur travail".