Un hippodrome au bord du St-Laurent?
Sports divers mercredi, 14 janv. 2009. 09:54 samedi, 14 déc. 2024. 22:58
MONTREAL - Des promoteurs chercheraient à profiter de la vente des vastes terrains de l'hippodrome de Montréal pour ensuite, avec les profits de la vente, aménager une piste de chevaux de course sur les terrains que la Ville possède sur les rives du Saint-Laurent, entre les ponts Victoria et Champlain.
Selon La Presse, le projet est porté par Marcel Lacaille, principal propriétaire de chevaux de course au Québec, et soutenu par Serge Savard, ancien joueur du Canadien et vice-président d'une société immobilière.
M. Lacaille, membre actif de la Société des propriétaires et éleveurs de chevaux Standardbred, a fait valoir son projet à Claude Dauphin, président du comité exécutif de la Ville, lors d'une rencontre, cet automne. Il en a parlé aussi au sous-ministre des Finances, Jean Houde.
Bernard Larin, porte-parole du comité exécutif, soutient que la Ville n'est pas fermée à l'idée. Elle souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome dont l'accès sera amélioré par le prolongement du boulevard Cavendish.
Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, autrefois connu sous le nom de Blue Bonnets.
En 2006, le gouvernement a privatisé les courses de chevaux au profit de la compagnie Attractions Hippiques qui s'est placée sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies. Aucune course n'est prévue à l'actuel hippodrome avant mai prochain.
Marcel Lacaille pense que le terrain, qui appartient au gouvernement du Québec, pourrait être vendu pour 80 millions $. Il suffirait ensuite de 50 millions $ pour aménager une nouvelle piste et des gradins pouvant recevoir de 8000 à 10 000 spectateurs et un club-house, à son avis.
Selon La Presse, le projet est porté par Marcel Lacaille, principal propriétaire de chevaux de course au Québec, et soutenu par Serge Savard, ancien joueur du Canadien et vice-président d'une société immobilière.
M. Lacaille, membre actif de la Société des propriétaires et éleveurs de chevaux Standardbred, a fait valoir son projet à Claude Dauphin, président du comité exécutif de la Ville, lors d'une rencontre, cet automne. Il en a parlé aussi au sous-ministre des Finances, Jean Houde.
Bernard Larin, porte-parole du comité exécutif, soutient que la Ville n'est pas fermée à l'idée. Elle souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome dont l'accès sera amélioré par le prolongement du boulevard Cavendish.
Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, autrefois connu sous le nom de Blue Bonnets.
En 2006, le gouvernement a privatisé les courses de chevaux au profit de la compagnie Attractions Hippiques qui s'est placée sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies. Aucune course n'est prévue à l'actuel hippodrome avant mai prochain.
Marcel Lacaille pense que le terrain, qui appartient au gouvernement du Québec, pourrait être vendu pour 80 millions $. Il suffirait ensuite de 50 millions $ pour aménager une nouvelle piste et des gradins pouvant recevoir de 8000 à 10 000 spectateurs et un club-house, à son avis.