Des attentes élevées pour Kim Clijsters
Tennis mardi, 17 août 2010. 16:44 jeudi, 12 déc. 2024. 14:42
MONTRÉAL - L'an dernier, la Belge Kim Clijsters en a surpris plusieurs en effectuant un retour au jeu après une retraite d'un peu plus de deux ans. Cette année, elle se présente à Montréal bien installée dans le top cinq mondial et les attentes sont plus élevées.
«C'est sûr que j'ai de grandes attentes pour ce tournoi. Chaque fois que je joue, je veux bien faire. Mais je prends ça un match à la fois», a indiqué la quatrième joueuse mondiale.
La jeune maman d'une petite fille de deux ans et demi, Jada, a impressionné depuis son retour, remportant les Internationaux des États-Unis dès son troisième tournoi.
Puis après avoir raté quelques tournois, dont Roland-Garros et Wimbledon en raison d'une blessure au pied, elle a enlevé le titre au Masters de Cincinnati la semaine dernière, en battant Maria Sharapova en finale.
«Tout s'est déroulé très vite. La dernière année et tout ce qui a mené à ma victoire en Grand chelem, c'était extraordinaire de vivre ça avec ma nouvelle équipe et ma famille. C'était probablement l'émotion la plus spéciale que j'ai ressentie au cours de ma carrière», a admis la joueuse de 27 ans.
Clijsters jouera son premier match, mercredi, face à l'Américaine Bethanie Matteks-Sands, issue des qualifications.
«C'est embêtant de jouer contre elle parce qu'elle aime essayer des choses différentes. Je devrai être concentrée et être prête à anticiper plusieurs choses de sa part», se méfie Clijsters.
Sa situation familiale est peu commune sur le circuit, puisque seulement deux joueuses parmi l'élite ont eu un enfant, l'autre étant Sybille Bammer. Clijsters fait tout son possible pour garder un équilibre entre le tennis et sa petite famille.
«Je vois les choses de la même manière que lorsque j'avais 16 ans. On vit pour le tennis, alors ce n'est pas dans ma nature de me dire la veille d'un match, 'Allons au zoo et marchons pendant quatre heures', parce que je sais que je vais en payer le prix le lendemain. Je veux passer du temps avec ma famille et faire ce genre de chose, mais je ne peux pas et j'essaie de ne pas me sentir coupable sur le court.»
C'est un peu pour cette raison qu'elle ne participe pas à beaucoup de tournois, préférant se concentrer sur les Grands chelems et les tourmois majeurs, comme celui de Montréal.
«Quand j'ai amorcé mon retour au jeu, mon objefctif était d'en profiter, d'avoir du plaisir et de visiter pendant que je suis à ces tournois.
«Mon but était d'avoir une famille, mais aussi de justifier mon retour au jeu et d'être encore capable de rivaliser avec les meilleures. C'est possible si vous y croyez. Mais ça prend aussi beaucoup d'aide de l'extérieur, de la famille. Ce n'est pas seulement une personne qui prend les décisions, c'est toute la famille», a conclu Clijsters.
«C'est sûr que j'ai de grandes attentes pour ce tournoi. Chaque fois que je joue, je veux bien faire. Mais je prends ça un match à la fois», a indiqué la quatrième joueuse mondiale.
La jeune maman d'une petite fille de deux ans et demi, Jada, a impressionné depuis son retour, remportant les Internationaux des États-Unis dès son troisième tournoi.
Puis après avoir raté quelques tournois, dont Roland-Garros et Wimbledon en raison d'une blessure au pied, elle a enlevé le titre au Masters de Cincinnati la semaine dernière, en battant Maria Sharapova en finale.
«Tout s'est déroulé très vite. La dernière année et tout ce qui a mené à ma victoire en Grand chelem, c'était extraordinaire de vivre ça avec ma nouvelle équipe et ma famille. C'était probablement l'émotion la plus spéciale que j'ai ressentie au cours de ma carrière», a admis la joueuse de 27 ans.
Clijsters jouera son premier match, mercredi, face à l'Américaine Bethanie Matteks-Sands, issue des qualifications.
«C'est embêtant de jouer contre elle parce qu'elle aime essayer des choses différentes. Je devrai être concentrée et être prête à anticiper plusieurs choses de sa part», se méfie Clijsters.
Sa situation familiale est peu commune sur le circuit, puisque seulement deux joueuses parmi l'élite ont eu un enfant, l'autre étant Sybille Bammer. Clijsters fait tout son possible pour garder un équilibre entre le tennis et sa petite famille.
«Je vois les choses de la même manière que lorsque j'avais 16 ans. On vit pour le tennis, alors ce n'est pas dans ma nature de me dire la veille d'un match, 'Allons au zoo et marchons pendant quatre heures', parce que je sais que je vais en payer le prix le lendemain. Je veux passer du temps avec ma famille et faire ce genre de chose, mais je ne peux pas et j'essaie de ne pas me sentir coupable sur le court.»
C'est un peu pour cette raison qu'elle ne participe pas à beaucoup de tournois, préférant se concentrer sur les Grands chelems et les tourmois majeurs, comme celui de Montréal.
«Quand j'ai amorcé mon retour au jeu, mon objefctif était d'en profiter, d'avoir du plaisir et de visiter pendant que je suis à ces tournois.
«Mon but était d'avoir une famille, mais aussi de justifier mon retour au jeu et d'être encore capable de rivaliser avec les meilleures. C'est possible si vous y croyez. Mais ça prend aussi beaucoup d'aide de l'extérieur, de la famille. Ce n'est pas seulement une personne qui prend les décisions, c'est toute la famille», a conclu Clijsters.