Des terrains de terre battue à Montréal
Tennis mercredi, 15 juin 2011. 16:49 dimanche, 15 déc. 2024. 01:43
Ça faisait plusieurs années que les dirigeants de Tennis Canada y rêvaient et leur souhait a finalement été exaucé puisqu'il y a maintenant quatre terrains de terre battue fonctionnels, au centre national d'entraînement du stade Uniprix.
Tennis Canada peut se dire mission accomplie. À peine dix mois après avoir annoncé qu'il irait de l'avant avec ce projet, Tennis Canada mise maintenant sur un complexe grandiose accessible à l'élite ainsi qu'au grand public."
« C'était un projet un petit peu fou de faire des terrains de terre battue, sur le toit de nos installations actuelles, recouverts, avec des portes de garage qui s'ouvrent pour qu'on puisse utiliser ces terrains 12 mois par année. C'est vraiment une structure unique. »
Les trois paliers de gouvernement et Tennis Canada ont assuré les coûts de 5,2 millions de dollars pour rendre les rénovations possibles. Cette dépense était essentielle pour favoriser le développement du tennis au pays.
« C'est une surface qui permet de travailler certains aspects du jeu tactique, technique et physique qu'on ne peut pas retrouver sur d'autres surfaces, a mentionné Louis Borfiga, vice-président du développement de l'élite. Si on est une nation ambitieuse, on se doit d'avoir des terrains comme ceux-là. »
« Nos joueurs vont pouvoir enfin apprendre la base du tennis sur terre battue et transférer leurs connaissances sur surface dure, » a affirmé l'entraîneur Martin Laurendeau.
Même son de cloche chez les joueurs : « Ça représente beaucoup de motivation, a déclaré Samuel Monette. On sent que les entraîneurs et Tennis Canada croient en nous. »
« Si on avait eu ça dans notre temps, je crois qu'on aurait eu de meilleurs résultats, a juré Frédéric Niemeyer. Je crois qu'on aurait compris le jeu un peu plus vite. »
La dernière joueuse canadienne à avoir atteint les quarts de finale d'un tournoi majeur est Patricia Hy-Boulais, en 1992, aux Internationaux des États-Unis.
D'après un reportage d'Anouk Grignon-L'Anglais
Tennis Canada peut se dire mission accomplie. À peine dix mois après avoir annoncé qu'il irait de l'avant avec ce projet, Tennis Canada mise maintenant sur un complexe grandiose accessible à l'élite ainsi qu'au grand public."
« C'était un projet un petit peu fou de faire des terrains de terre battue, sur le toit de nos installations actuelles, recouverts, avec des portes de garage qui s'ouvrent pour qu'on puisse utiliser ces terrains 12 mois par année. C'est vraiment une structure unique. »
Les trois paliers de gouvernement et Tennis Canada ont assuré les coûts de 5,2 millions de dollars pour rendre les rénovations possibles. Cette dépense était essentielle pour favoriser le développement du tennis au pays.
« C'est une surface qui permet de travailler certains aspects du jeu tactique, technique et physique qu'on ne peut pas retrouver sur d'autres surfaces, a mentionné Louis Borfiga, vice-président du développement de l'élite. Si on est une nation ambitieuse, on se doit d'avoir des terrains comme ceux-là. »
« Nos joueurs vont pouvoir enfin apprendre la base du tennis sur terre battue et transférer leurs connaissances sur surface dure, » a affirmé l'entraîneur Martin Laurendeau.
Même son de cloche chez les joueurs : « Ça représente beaucoup de motivation, a déclaré Samuel Monette. On sent que les entraîneurs et Tennis Canada croient en nous. »
« Si on avait eu ça dans notre temps, je crois qu'on aurait eu de meilleurs résultats, a juré Frédéric Niemeyer. Je crois qu'on aurait compris le jeu un peu plus vite. »
La dernière joueuse canadienne à avoir atteint les quarts de finale d'un tournoi majeur est Patricia Hy-Boulais, en 1992, aux Internationaux des États-Unis.
D'après un reportage d'Anouk Grignon-L'Anglais