Federer veut continuer de jouer à Paris
Tennis mercredi, 26 mai 2010. 12:45 samedi, 14 déc. 2024. 02:57
PARIS- Roger Federer a déclaré mercredi qu'il espérait que le tournoi de Roland-Garros reste à Paris, même s'il comprenait les raisons qui poussent à envisager un déménagement vers un site plus grand.
"J'espère que le tournoi reste ici. J'adorerais revenir dans vingt ou quarante ans", a souligné le Suisse, interrogé depuis son arrivée à Paris sur cette question délicate qu'il a d'abord soigneusement cherché à esquiver.
"Je crois à la tradition et tout le monde serait évidemment déçu si le tournoi devait déménager. Mais en même temps il faut que tout le monde trouve son compte. Si les gens se posent la question, c'est qu'il doit y avoir de bonnes raisons. Et parfois ces raisons sont plus importantes que l'histoire", a-t-il déclaré mercredi.
La Fédération française de tennis doit décider en février 2011 si elle maintient le tournoi à Roland-Garros, qui offre la plus petite surface des quatre tournois du Grand Chelem, ou si elle construit un nouveau stade à Versailles, Gonesse ou Marne-la-Vallée, en banlieue parisienne.
La question d'un toit pour couvrir les principaux courts est un élément central du débat et est revenue sur le tapis mercredi alors que le deuxième tour de Federer a été interrompu à deux reprises par la pluie.
"Ce serait bien d'avoir un toit, mais on joue à ce jeu depuis des décennies maintenant et on est habitué à être flexible sur ce genre de choses, a-t-il estimé. Il semble que Roland-Garros soit sous pression puisque Wimbledon et l'Open d'Australie disposent de courts avec des toits. Tout le monde aimerait évidemment que les matches puissent se poursuivre sans interruption. Mais pour moi il est totalement acceptable de devoir sortir et revenir sur le court à plusieurs reprises dans un match."
"J'espère que le tournoi reste ici. J'adorerais revenir dans vingt ou quarante ans", a souligné le Suisse, interrogé depuis son arrivée à Paris sur cette question délicate qu'il a d'abord soigneusement cherché à esquiver.
"Je crois à la tradition et tout le monde serait évidemment déçu si le tournoi devait déménager. Mais en même temps il faut que tout le monde trouve son compte. Si les gens se posent la question, c'est qu'il doit y avoir de bonnes raisons. Et parfois ces raisons sont plus importantes que l'histoire", a-t-il déclaré mercredi.
La Fédération française de tennis doit décider en février 2011 si elle maintient le tournoi à Roland-Garros, qui offre la plus petite surface des quatre tournois du Grand Chelem, ou si elle construit un nouveau stade à Versailles, Gonesse ou Marne-la-Vallée, en banlieue parisienne.
La question d'un toit pour couvrir les principaux courts est un élément central du débat et est revenue sur le tapis mercredi alors que le deuxième tour de Federer a été interrompu à deux reprises par la pluie.
"Ce serait bien d'avoir un toit, mais on joue à ce jeu depuis des décennies maintenant et on est habitué à être flexible sur ce genre de choses, a-t-il estimé. Il semble que Roland-Garros soit sous pression puisque Wimbledon et l'Open d'Australie disposent de courts avec des toits. Tout le monde aimerait évidemment que les matches puissent se poursuivre sans interruption. Mais pour moi il est totalement acceptable de devoir sortir et revenir sur le court à plusieurs reprises dans un match."