Henin et Williams résistent à la pluie
Tennis dimanche, 27 mai 2007. 15:30 dimanche, 15 déc. 2024. 15:24
PARIS - Justine Henin et Serena Williams ont remporté leur match de premier tour respectif dimanche à Roland-Garros, où la journée d'ouverture a été largement gâchée par la pluie.
La partie entre Ashley Harkleroad et la Québécoise Aleksandra Wozniak a donc été annulée en raison de la pluie.
Convaincus d'avoir fait le bon choix l'année dernière en faisant commencer le tournoi le dimanche, les organisateurs avaient décidé de doubler le nombre de matches au programme (24 contre 12). Mais ils n'ont pas été récompensés car sept rencontres seulement ont pu se terminer.
Avant la pluie, Serena Williams avait mal commencé son match contre Svetlana Pironkova, qui avait eu quatre balles de set. Au retour, l'Américaine a commencé par offrir sur un plateau cette première manche laissée en suspens en commettant quatre fautes grossières d'affilée.
Mais ce fut le dernier cadeau consenti à la jeune Bulgare, une connaissance de la famille qui avait éliminé la grande soeur Venus au premier tour de l'Omnium d'Australie en 2006.
Prévisions mauvaises
"La pluie a ralenti le court, ça jouait plus lentement, ce qui fait qu'elle a pu remettre plus de balles. Ensuite j'ai été plus patiente. J'ai fait ce que je sais faire à l'entraînement", a commenté l'Américaine, venue à Paris avec de grandes ambitions après avoir manqué les deux éditions précédentes sur blessure.
Elle n'a plus lâché que deux jeux (5-7, 6-1, 6-1) avant d'en finir avec ce match qu'elle considérait comme une formalité, n'ayant jamais été sortie au premier tour d'un Grand Chelem. "Je savais que si je perdais, il y avait 99,9 % de chances qu'elle (Pironkova) ne passe pas le tour suivant. Ca m'a motivée encore plus".
Des formalités, les premiers tours en sont rarement pour Justine Henin. La Belge, déjà repartie trois fois avec la Coupe (2003, 2005, 2006), a généralement besoin d'un match ou deux pour se mettre dans le rythme. Cela s'est vérifié contre Elena Vesnina, une Russe classée 65e mondiale qui s'est donné le frisson en menant 3 à 1 dans le deuxième set avant de céder les cinq derniers jeux (6-4, 6-3).
"C'étaient des circonstances difficiles. A Berlin (son dernier tournoi il y a deux semaines) c'était pareil et c'est un peu fatigant. Il y a un peu une punition de vouloir commencer un tournoi un dimanche", a dit la N.1 mondiale, pas du tout convaincue par l'initiative des organisateurs.
Ceux-ci, comme les joueurs et les spectateurs, ne sont probablement pas au bout de leurs peines car les prévisions météo sont mauvaises pour lundi. Les éclaircies annoncées pour mardi devraient être suivies d'une nouvelle dégradation le lendemain.
La partie entre Ashley Harkleroad et la Québécoise Aleksandra Wozniak a donc été annulée en raison de la pluie.
Convaincus d'avoir fait le bon choix l'année dernière en faisant commencer le tournoi le dimanche, les organisateurs avaient décidé de doubler le nombre de matches au programme (24 contre 12). Mais ils n'ont pas été récompensés car sept rencontres seulement ont pu se terminer.
Avant la pluie, Serena Williams avait mal commencé son match contre Svetlana Pironkova, qui avait eu quatre balles de set. Au retour, l'Américaine a commencé par offrir sur un plateau cette première manche laissée en suspens en commettant quatre fautes grossières d'affilée.
Mais ce fut le dernier cadeau consenti à la jeune Bulgare, une connaissance de la famille qui avait éliminé la grande soeur Venus au premier tour de l'Omnium d'Australie en 2006.
Prévisions mauvaises
"La pluie a ralenti le court, ça jouait plus lentement, ce qui fait qu'elle a pu remettre plus de balles. Ensuite j'ai été plus patiente. J'ai fait ce que je sais faire à l'entraînement", a commenté l'Américaine, venue à Paris avec de grandes ambitions après avoir manqué les deux éditions précédentes sur blessure.
Elle n'a plus lâché que deux jeux (5-7, 6-1, 6-1) avant d'en finir avec ce match qu'elle considérait comme une formalité, n'ayant jamais été sortie au premier tour d'un Grand Chelem. "Je savais que si je perdais, il y avait 99,9 % de chances qu'elle (Pironkova) ne passe pas le tour suivant. Ca m'a motivée encore plus".
Des formalités, les premiers tours en sont rarement pour Justine Henin. La Belge, déjà repartie trois fois avec la Coupe (2003, 2005, 2006), a généralement besoin d'un match ou deux pour se mettre dans le rythme. Cela s'est vérifié contre Elena Vesnina, une Russe classée 65e mondiale qui s'est donné le frisson en menant 3 à 1 dans le deuxième set avant de céder les cinq derniers jeux (6-4, 6-3).
"C'étaient des circonstances difficiles. A Berlin (son dernier tournoi il y a deux semaines) c'était pareil et c'est un peu fatigant. Il y a un peu une punition de vouloir commencer un tournoi un dimanche", a dit la N.1 mondiale, pas du tout convaincue par l'initiative des organisateurs.
Ceux-ci, comme les joueurs et les spectateurs, ne sont probablement pas au bout de leurs peines car les prévisions météo sont mauvaises pour lundi. Les éclaircies annoncées pour mardi devraient être suivies d'une nouvelle dégradation le lendemain.