"Il a dû commettre une erreur"
Tennis jeudi, 6 oct. 2005. 14:33 jeudi, 12 déc. 2024. 14:40
METZ (AFP) - Le Russe Nikolay Davydenko, battu par Mariano Puerta en demi-finale du tournoi de Roland-Garros début juin, a estimé jeudi que l'Argentin, sous pression depuis la révélation mercredi par le journal L'Equipe d'un contrôle antidopage positif le concernant à l'issue des Internationaux de France de tennis, avait "dû commettre une erreur".
"Je ne pense pas qu'il a fait ça pour gagner à Roland-Garros, ce doit plutôt être une erreur de sa part mais je ne veux pas en dire plus tant que ce n'est pas officiel", a simplement indiqué Davydenko, en course cette semaine au tournoi de Metz (est).
A Roland-Garros, Mariano Puerta avait battu Nikolay Davydenko 6-3, 5-7, 2-6, 6-4, 6-4 en demi-finale.
Puerta a ensuite subi un contrôle antidopage positif au soir de sa défaite en finale du tournoi de Roland-Garros, le 5 juin dernier, ce qui pourrait lui valoir la première suspension à vie de l'histoire du tennis, affirmait mercredi le journal français L'Equipe.
Le N.10 mondial est en effet un récidiviste puisqu'il a déjà été frappé entre le 1er octobre 2003 et le 1er juillet 2004 d'une suspension de neuf mois après un contrôle positif au clenbuterol, un stéroïde anabolisant, en janvier 2003.
Jeudi à Tokyo, Puerta a une nouvelle fois démenti les accusations de dopage qui pèsent sur lui. "Cela a été une surprise, a-t-il déclaré. Je n'ai pas pris de substances illicites comme l'a affirmé le journal français. Depuis ma suspension il y a deux ans je n'ai jamais pensé répéter la même chose".
"Je n'ai pas été malade durant les deux semaines des Internationaux de France et je n'ai même pas pris de médicaments, a-t-il ajouté. Les médecins m'ont donné des anti-inflammatoires pour ma jambe après les demi-finales, mais je ne les ai même pas utilisés."
"Je ne pense pas qu'il a fait ça pour gagner à Roland-Garros, ce doit plutôt être une erreur de sa part mais je ne veux pas en dire plus tant que ce n'est pas officiel", a simplement indiqué Davydenko, en course cette semaine au tournoi de Metz (est).
A Roland-Garros, Mariano Puerta avait battu Nikolay Davydenko 6-3, 5-7, 2-6, 6-4, 6-4 en demi-finale.
Puerta a ensuite subi un contrôle antidopage positif au soir de sa défaite en finale du tournoi de Roland-Garros, le 5 juin dernier, ce qui pourrait lui valoir la première suspension à vie de l'histoire du tennis, affirmait mercredi le journal français L'Equipe.
Le N.10 mondial est en effet un récidiviste puisqu'il a déjà été frappé entre le 1er octobre 2003 et le 1er juillet 2004 d'une suspension de neuf mois après un contrôle positif au clenbuterol, un stéroïde anabolisant, en janvier 2003.
Jeudi à Tokyo, Puerta a une nouvelle fois démenti les accusations de dopage qui pèsent sur lui. "Cela a été une surprise, a-t-il déclaré. Je n'ai pas pris de substances illicites comme l'a affirmé le journal français. Depuis ma suspension il y a deux ans je n'ai jamais pensé répéter la même chose".
"Je n'ai pas été malade durant les deux semaines des Internationaux de France et je n'ai même pas pris de médicaments, a-t-il ajouté. Les médecins m'ont donné des anti-inflammatoires pour ma jambe après les demi-finales, mais je ne les ai même pas utilisés."