La météo est préoccupante
Tennis mardi, 3 juil. 2007. 17:31 jeudi, 12 déc. 2024. 07:27
LONDRES - La situation devient préoccupante sur le front de la météo à Wimbledon, où d'incessantes averses ont fortement perturbé sept des huit journées depuis le début du tournoi.
Mardi, il y a eu pas moins de six interruptions et le troisième tour messieurs, qui aurait dû se terminer samedi, n'a toujours pas pu être bouclé.
Alors que les quarts de finale messieurs auraient dû être disputés mercredi, on ne connaît que deux des huits participants, le Suisse Roger Federer et l'Espagnol Juan Carlos Ferrero, qui s'affronteront à une date impossible à prévoir.
Dans le tableau féminin, la situation est mauvaise également, mais pas aussi inquiétante. Les quarts de finale, joués d'habitude le mardi, n'ont évidemment pas eu lieu, mais au moins sept des huit qualifiées sont connues.
Théoriquement, les finales ont encore une chance d'être jouées à la date prévue, samedi pour les femmes et dimanche pour les hommes. Mais on peut d'ores et déjà dire que la morale sportive ne sera pas respectée.
Deux des principaux outsiders, l'Espagnol Rafael Nadal et le Serbe Novak Djokovic, n'ont pas fini leur troisième tour, ce qui veut dire que s'ils allaient en finale, ils auraient joué sept jours sur sept en deuxième semaine. Remporter le titre dans ces conditions tiendrait du miracle.
Ces joueurs-là peuvent en vouloir à l'organisation, qui a refusé de sacrifier le repos dominical alors que le retard était déjà considérable samedi. Cet attachement à la tradition a conduit à programmer pas moins de 107 matches lundi, dont 68 n'ont même pas commencé, tandis que 26 seulement sont allés à leur terme.
Joueurs, organisateurs et spectateurs ne sont peut-être pas au bout de leurs soucis car les météorologues sont pessimistes pour les jours qui viennent, surtout pour mercredi.
Il n'est donc pas exclu que le tournoi se prolonge au-delà du deuxième dimanche, ce qui ne serait pas une première. En 2001, le Croate Goran Ivanisevic avait battu l'Australien Patrick Rafter le lundi.
Mardi, il y a eu pas moins de six interruptions et le troisième tour messieurs, qui aurait dû se terminer samedi, n'a toujours pas pu être bouclé.
Alors que les quarts de finale messieurs auraient dû être disputés mercredi, on ne connaît que deux des huits participants, le Suisse Roger Federer et l'Espagnol Juan Carlos Ferrero, qui s'affronteront à une date impossible à prévoir.
Dans le tableau féminin, la situation est mauvaise également, mais pas aussi inquiétante. Les quarts de finale, joués d'habitude le mardi, n'ont évidemment pas eu lieu, mais au moins sept des huit qualifiées sont connues.
Théoriquement, les finales ont encore une chance d'être jouées à la date prévue, samedi pour les femmes et dimanche pour les hommes. Mais on peut d'ores et déjà dire que la morale sportive ne sera pas respectée.
Deux des principaux outsiders, l'Espagnol Rafael Nadal et le Serbe Novak Djokovic, n'ont pas fini leur troisième tour, ce qui veut dire que s'ils allaient en finale, ils auraient joué sept jours sur sept en deuxième semaine. Remporter le titre dans ces conditions tiendrait du miracle.
Ces joueurs-là peuvent en vouloir à l'organisation, qui a refusé de sacrifier le repos dominical alors que le retard était déjà considérable samedi. Cet attachement à la tradition a conduit à programmer pas moins de 107 matches lundi, dont 68 n'ont même pas commencé, tandis que 26 seulement sont allés à leur terme.
Joueurs, organisateurs et spectateurs ne sont peut-être pas au bout de leurs soucis car les météorologues sont pessimistes pour les jours qui viennent, surtout pour mercredi.
Il n'est donc pas exclu que le tournoi se prolonge au-delà du deuxième dimanche, ce qui ne serait pas une première. En 2001, le Croate Goran Ivanisevic avait battu l'Australien Patrick Rafter le lundi.