Le TAS ratifie la suspension de Canas
Tennis jeudi, 24 mai 2007. 10:30 mercredi, 11 déc. 2024. 20:44
GENEVE - Le tribunal arbitral du sport de Lausanne (TAS) a confirmé jeudi la suspension pour dopage de 15 mois de l'Argentin Guillermo Canas, qui a déja effectué sa peine, après avoir réexaminé le cas à la lumière d'un appel interjeté avec succès par le joueur de tennis.
Dans un communiqué, le TAS précise qu'il en est arrivé "à la même conclusion que lors de son premier jugement et a décidé de maintenir sa décision de suspendre le joueur argentin durant 15 mois".
Cette décision du TAS intervient alors que la Cour suprême suisse (CAS) avait, en partie, donné raison à Canas, à la suite d'un appel du joueur, après sa condamnation à deux ans par l'ATP de suspension pour dopage à l'hydrochlorothiazide en 2005, en demandant au TAS de réexaminer sa sentence au vu de détails juridiques. La CAS estimait en effet, en substance, que l'étendue des preuves retenues contre le joueur devait être reconsidérée.
Le TAS avait réduit la sanction de l'ATP pour la ramener à 15 mois, estimant que Canas n'était pas complètement fautif pour la prise de ce médicament qui, selon le tribunal, lui avait été donné par erreur.
En conclusion, le TAS a réaffirmé jeudi qu'il maintenait ses conclusions après avoir examiné les arguments développés par la défense de Canas devant la Cour suprême suisse.
Canas a déjà effectué sa peine: il est revenu sur les courts en septembre dernier et a, notamment, battu deux fois le numéro un mondial, le Suisse Roger Federer.
Dans un communiqué, le TAS précise qu'il en est arrivé "à la même conclusion que lors de son premier jugement et a décidé de maintenir sa décision de suspendre le joueur argentin durant 15 mois".
Cette décision du TAS intervient alors que la Cour suprême suisse (CAS) avait, en partie, donné raison à Canas, à la suite d'un appel du joueur, après sa condamnation à deux ans par l'ATP de suspension pour dopage à l'hydrochlorothiazide en 2005, en demandant au TAS de réexaminer sa sentence au vu de détails juridiques. La CAS estimait en effet, en substance, que l'étendue des preuves retenues contre le joueur devait être reconsidérée.
Le TAS avait réduit la sanction de l'ATP pour la ramener à 15 mois, estimant que Canas n'était pas complètement fautif pour la prise de ce médicament qui, selon le tribunal, lui avait été donné par erreur.
En conclusion, le TAS a réaffirmé jeudi qu'il maintenait ses conclusions après avoir examiné les arguments développés par la défense de Canas devant la Cour suprême suisse.
Canas a déjà effectué sa peine: il est revenu sur les courts en septembre dernier et a, notamment, battu deux fois le numéro un mondial, le Suisse Roger Federer.