Les objectifs de Federer sont élevés
Tennis lundi, 5 janv. 2009. 12:03 samedi, 14 déc. 2024. 21:56
DOHA - Reconquérir la place de no 1 mondial et battre le record de victoires en Grand Chelem: les objectifs de Roger Federer sont élevés à l'heure de débuter sa saison mardi à Doha mais le Suisse estime que la pression est surtout sur les épaules des autres.
Après une année 2008 décevante pour ses standards mais que lui continue à qualifier de "très bonne", Federer estime qu'il ne lui manque pas grand-chose pour retrouver le sommet.
"J'ai eu de bons résultats en Grand Chelem, rappelle le no 2 mondial, vainqueur des Internationaux des États-Unis, finaliste à Roland-Garros et Wimbledon ainsi que demi-finaliste en Australie en 2008. "Il faut juste que je fasse en sorte de gagner un peu plus de titres", ajoute le Suisse qui en a remporté quatre la saison dernière mais pas le moindre Masters Series.
Plutôt que de se lamenter, il préfère voir le côté positif: "J'aurai moins de titres à défendre et donc moins de pression. Elle pèsera pour une fois davantage sur d'autres joueurs ce qui n'est pas pour me déplaire", glisse le Suisse en désignant l'Ecossais Andy Murray, le Serbe Novak Djokovic et surtout le no 1 mondial Rafael Nadal.
"Rafa reste mon principal rival", souligne Federer, sous la menace de Djokovic pour la place de no 2 à l'ATP. "Ca ne me préoccupe pas, ce qui compte c'est la place de N.1. Le reste...", balaye le Suisse avant de commencer sa saison par un match face à l'Italien Potito Starace mardi à Doha
Après une année 2008 décevante pour ses standards mais que lui continue à qualifier de "très bonne", Federer estime qu'il ne lui manque pas grand-chose pour retrouver le sommet.
"J'ai eu de bons résultats en Grand Chelem, rappelle le no 2 mondial, vainqueur des Internationaux des États-Unis, finaliste à Roland-Garros et Wimbledon ainsi que demi-finaliste en Australie en 2008. "Il faut juste que je fasse en sorte de gagner un peu plus de titres", ajoute le Suisse qui en a remporté quatre la saison dernière mais pas le moindre Masters Series.
Plutôt que de se lamenter, il préfère voir le côté positif: "J'aurai moins de titres à défendre et donc moins de pression. Elle pèsera pour une fois davantage sur d'autres joueurs ce qui n'est pas pour me déplaire", glisse le Suisse en désignant l'Ecossais Andy Murray, le Serbe Novak Djokovic et surtout le no 1 mondial Rafael Nadal.
"Rafa reste mon principal rival", souligne Federer, sous la menace de Djokovic pour la place de no 2 à l'ATP. "Ca ne me préoccupe pas, ce qui compte c'est la place de N.1. Le reste...", balaye le Suisse avant de commencer sa saison par un match face à l'Italien Potito Starace mardi à Doha