Murray critique à son tour le calendrier
Tennis dimanche, 18 sept. 2011. 19:05 dimanche, 15 déc. 2024. 00:07
GLASGOW - Le Britannique Andy Murray a critiqué dimanche, dans le sillage de l'Espagnol Rafael Nadal, l'incohérence du calendrier de tennis professionnel, qu'il souhaite voir modifié afin d'alléger les charges de travail des joueurs.
"Le calendrier est bordélique, nous devons le changer", a déclaré le no 4 mondial, qui a contribué par deux victoires en simples à l'accession de la Grande-Bretagne au groupe I de coupe Davis, après un succès sur la Hongrie (5-0).
Il avait dû rejoindre ses coéquipiers en Écosse au lendemain de son retour de New York où il avait été éliminé en demi-finale des Internationaux des États-Unis par Nadal. Il doit en outre disputer l'Omnium de Thaïlande la semaine prochaine à Bangkok.
"Les évènements obligatoires, c'est devenu ce qu'il y a de pire. Avant on n'avait qu'à jouer neuf Master Series et quatre tournois du Grand Chelem, soit 13 au total", s'est plaint Murray.
Actuellement, outre les Grands Chelems et 8 Masters 1000, les joueurs doivent au moins s'engager dans quatre autres tournois, car le classement tient compte de résultats accumulés sur 18 tournois. De fait, si les joueurs jouent moins ils perdent des points.
"Je suis ouvert à l'idée selon laquelle certains petits tournois peuvent ne pas être disputés, car 250 points d'attribution ne feraient pas tant de différence", a ajouté Murray.
"Quand on joue des Masters Series ou des Grands Chelems, on se mesure aux meilleurs joueurs du monde à chaque fois", a-t-il conclu.
Vendredi, Rafael Nadal avait également fait part de son agacement contre le calendrier "inacceptable" qui ne sépare que de quelques jours la finale des Internationaux des États-Unis des demi-finales de Coupe Davis, n'excluant pas la possibilité de faire grève pour protester.
"Je n'écarte rien. Je n'aimerais pas aller jusqu'à la grève, parce qu'en tant que joueur, ce qui me plaît justement, c'est jouer. Mais il faut qu'il se passe quelque chose", avait souligné le champion espagnol, arguant que "l'intégrité physique des joueurs (...) pâtit" de l'enchaînement des rencontres.
"Le calendrier est bordélique, nous devons le changer", a déclaré le no 4 mondial, qui a contribué par deux victoires en simples à l'accession de la Grande-Bretagne au groupe I de coupe Davis, après un succès sur la Hongrie (5-0).
Il avait dû rejoindre ses coéquipiers en Écosse au lendemain de son retour de New York où il avait été éliminé en demi-finale des Internationaux des États-Unis par Nadal. Il doit en outre disputer l'Omnium de Thaïlande la semaine prochaine à Bangkok.
"Les évènements obligatoires, c'est devenu ce qu'il y a de pire. Avant on n'avait qu'à jouer neuf Master Series et quatre tournois du Grand Chelem, soit 13 au total", s'est plaint Murray.
Actuellement, outre les Grands Chelems et 8 Masters 1000, les joueurs doivent au moins s'engager dans quatre autres tournois, car le classement tient compte de résultats accumulés sur 18 tournois. De fait, si les joueurs jouent moins ils perdent des points.
"Je suis ouvert à l'idée selon laquelle certains petits tournois peuvent ne pas être disputés, car 250 points d'attribution ne feraient pas tant de différence", a ajouté Murray.
"Quand on joue des Masters Series ou des Grands Chelems, on se mesure aux meilleurs joueurs du monde à chaque fois", a-t-il conclu.
Vendredi, Rafael Nadal avait également fait part de son agacement contre le calendrier "inacceptable" qui ne sépare que de quelques jours la finale des Internationaux des États-Unis des demi-finales de Coupe Davis, n'excluant pas la possibilité de faire grève pour protester.
"Je n'écarte rien. Je n'aimerais pas aller jusqu'à la grève, parce qu'en tant que joueur, ce qui me plaît justement, c'est jouer. Mais il faut qu'il se passe quelque chose", avait souligné le champion espagnol, arguant que "l'intégrité physique des joueurs (...) pâtit" de l'enchaînement des rencontres.