Nadal affrontera le « jeune » Ljubicic
Tennis jeudi, 18 mars 2010. 23:38 vendredi, 13 déc. 2024. 22:17
INDIAN WELLS - Le Croate Ivan Ljubicic a atteint le dernier carré du tournoi d'Indian Wells, jeudi à la veille de ses 31 ans, un âge auquel il pense avoir retrouvé ses jambes d'il y a quelques années, quand il était no 3 mondial et qu'il se sentait parfois "presque imbattable".
"C'était en 2005, 2006, je ne perdais presque que contre Roger (Federer), je me sentais presque imbattable, se souvient le Croate née en Bosnie-Herzégovine, vainqueur de l'Argentin Juan Monaco jeudi en quart de finale. Je sens de nouveau que je suis prêt à gagner des gros matches, à battre n'importe qui."
Ljubicic s'apprête maintenant à affronter l'Espagnol Rafael Nadal, champion en titre du tournoi, qui a battu le Tchèque Tomas Berdych (19e) 6-4, 7-6 en fin de soirée.
"Je trouve que je joue un tennis fantastique", assure la 20e tête de série, reconnaissant que cela n'a pas toujours été le cas ces dernières années.
"Cela fait un moment que je n'ai plus joué une demi-finale (en Masters 1000), assure-t-il, j'essayais de me souvenir mais je n'y arrive pas..."
Vainqueur à Lyon en octobre, il n'avait en fait plus atteint le dernier carré dans un Masters 1000, les tournois les plus importants après les quatre du Grand Chelem, depuis trois ans (Miami en 2007).
Face à Monaco, battu 6-4, 2-6, 1-6, le Croate a laissé échapper le premier set mais a été en contrôle le reste de la rencontre. "J'ai eu la chance de faire le bris en début de deuxième set, ça m'a aidé à rester relax, a-t-il expliqué. J'ai produit un bon tennis avec beaucoup de créativité, des lobs, amorties, volées... Je sentais que je pouvais mettre la balle où je voulais."
"Je pouvais tenir l'échange autant que je voulais, il (Monaco) ne faisait que défendre", a dit le trentenaire, qui met ses résultats sur le compte d'une dose supplémentaire d'entraînement physique, à un âge ou d'autres joueurs préfèrent réduire la voilure pour préserver leur corps et durer.
"Je me sens bien physiquement, j'ai changé de coach physique l'an passé et cela a été comme une nouvelle jeunesse pour moi. Ce n'est plus la routine."
"Je sens que j'ai besoin de travailler physiquement pour rester compétitif, poursuit-il. Même quand je prends trois ou quatre jours sans tennis, je fais quelque chose pour m'entretenir."
"C'était en 2005, 2006, je ne perdais presque que contre Roger (Federer), je me sentais presque imbattable, se souvient le Croate née en Bosnie-Herzégovine, vainqueur de l'Argentin Juan Monaco jeudi en quart de finale. Je sens de nouveau que je suis prêt à gagner des gros matches, à battre n'importe qui."
Ljubicic s'apprête maintenant à affronter l'Espagnol Rafael Nadal, champion en titre du tournoi, qui a battu le Tchèque Tomas Berdych (19e) 6-4, 7-6 en fin de soirée.
"Je trouve que je joue un tennis fantastique", assure la 20e tête de série, reconnaissant que cela n'a pas toujours été le cas ces dernières années.
"Cela fait un moment que je n'ai plus joué une demi-finale (en Masters 1000), assure-t-il, j'essayais de me souvenir mais je n'y arrive pas..."
Vainqueur à Lyon en octobre, il n'avait en fait plus atteint le dernier carré dans un Masters 1000, les tournois les plus importants après les quatre du Grand Chelem, depuis trois ans (Miami en 2007).
Face à Monaco, battu 6-4, 2-6, 1-6, le Croate a laissé échapper le premier set mais a été en contrôle le reste de la rencontre. "J'ai eu la chance de faire le bris en début de deuxième set, ça m'a aidé à rester relax, a-t-il expliqué. J'ai produit un bon tennis avec beaucoup de créativité, des lobs, amorties, volées... Je sentais que je pouvais mettre la balle où je voulais."
"Je pouvais tenir l'échange autant que je voulais, il (Monaco) ne faisait que défendre", a dit le trentenaire, qui met ses résultats sur le compte d'une dose supplémentaire d'entraînement physique, à un âge ou d'autres joueurs préfèrent réduire la voilure pour préserver leur corps et durer.
"Je me sens bien physiquement, j'ai changé de coach physique l'an passé et cela a été comme une nouvelle jeunesse pour moi. Ce n'est plus la routine."
"Je sens que j'ai besoin de travailler physiquement pour rester compétitif, poursuit-il. Même quand je prends trois ou quatre jours sans tennis, je fais quelque chose pour m'entretenir."