Pourquoi pas six pour les Williams?
Tennis dimanche, 30 août 2009. 12:33 jeudi, 12 déc. 2024. 14:45
NEW YORK - Les soeurs Venus et Serena Williams, deuxième et troisième mondiales qui font parfois comme si Dinara Safina (numéro un) n'existait pas, espèrent passer la sixième, à partir de lundi aux Internationaux des États-Unis, le dernier tournoi du Grand Chelem de la saison.
Les soeurs Williams porteraient le total familial à six en cas de victoire de l'une d'elles (Serena, tenante du titre, compte trois succès à New York, Venus deux).
L'ombre des Williams - surtout celle de Serena, tenante du titre et victorieuse de trois des quatre derniers Grands Chelems en date - se fait envahissante pour tout le monde sauf peut-être pour la Belge Kim Clijsters, dont le retour à la compétition cet été après deux ans de pause familiale s'est accompagné de probants résultats et qui n'a rien à perdre aux Internationaux des États-Unis.
Pas question pour autant de la classer parmi les rivales des Williams, car la Belge avoue qu'elle manque encore de régularité et de consistance. Clijsters, qui n'a pas encore joué contre Venus ou Serena depuis son retour, a battu deux joueuses du Top 10 (Svetlana Kuznetsova, gagnante de Roland-Garros, et Viktoria Azarenka) mais assure que c'est la Russe Safina qui l'a impressionnée.
Gagner à New York aurait du sens pour la numéro un mondiale: "Parce que mon frère y a gagné son premier Grand Chelem, que j'ai en gros commencé ma carrière pro ici et que j'y ai déjà gagné le double. Pourquoi pas le simple maintenant ?"
Ce serait une manière pour elle de clore le débat autour de ce statut pesant de numéro un mondiale n'ayant jamais remporté l'un des quatre Graals du tennis.
Les soeurs Williams porteraient le total familial à six en cas de victoire de l'une d'elles (Serena, tenante du titre, compte trois succès à New York, Venus deux).
L'ombre des Williams - surtout celle de Serena, tenante du titre et victorieuse de trois des quatre derniers Grands Chelems en date - se fait envahissante pour tout le monde sauf peut-être pour la Belge Kim Clijsters, dont le retour à la compétition cet été après deux ans de pause familiale s'est accompagné de probants résultats et qui n'a rien à perdre aux Internationaux des États-Unis.
Pas question pour autant de la classer parmi les rivales des Williams, car la Belge avoue qu'elle manque encore de régularité et de consistance. Clijsters, qui n'a pas encore joué contre Venus ou Serena depuis son retour, a battu deux joueuses du Top 10 (Svetlana Kuznetsova, gagnante de Roland-Garros, et Viktoria Azarenka) mais assure que c'est la Russe Safina qui l'a impressionnée.
Gagner à New York aurait du sens pour la numéro un mondiale: "Parce que mon frère y a gagné son premier Grand Chelem, que j'ai en gros commencé ma carrière pro ici et que j'y ai déjà gagné le double. Pourquoi pas le simple maintenant ?"
Ce serait une manière pour elle de clore le débat autour de ce statut pesant de numéro un mondiale n'ayant jamais remporté l'un des quatre Graals du tennis.