Puerta s'écroule face à Baghdatis
Tennis jeudi, 6 oct. 2005. 12:26 dimanche, 15 déc. 2024. 10:32
TOKYO (AFP) - L'Argentin Mariano Puerta, sous pression depuis la révélation d'un contrôle antidopage positif le concernant par le journal L'Equipe mercredi, a été éliminé par le Chypriote Marcos Baghdatis 6-2, 6-7 (11/13), 7-5, au 3e tour du tournoi de tennis de Tokyo disputé jeudi.
L'Argentin de 26 ans, tête de série N.1, a pourtant réussi à sauver trois balles de matches face au 101e joueur mondial au deuxième set dans un jeu décisif éprouvant pour les nerfs qu'il s'est finalement adjugé. Mais il a craqué dès l'entame du troisième set, perdant son service sur un jeu blanc qu'il n'est jamais parvenu à remonter.
A l'issue de sa défaite, Puerta a une nouvelle fois démenti les accusations de dopage qui pèsent sur lui. "Cela a été une surprise, a-t-il déclaré. Je n'ai pas pris de substances illicites comme l'a affirmé le journal français (L'Equipe). Depuis ma suspension il y a deux ans (pour dopage), je n'ai jamais pensé répéter la même chose."
"Je n'ai pas été malade durant les deux semaines des Internationaux de France et je n'ai même pas pris de médicaments, a-t-il ajouté. Les médecins m'ont donné des anti-inflammatoires pour ma jambe après les demi-finales, mais je ne les ai même pas utilisés."
Le joueur est ensuite revenu sur son match perdu face à Baghdatis. "J'ai réellement joué un bon tennis aujourd'hui, a estimé Puerta. J'étais très déçu d'avoir perdu, parce que je veux vraiment me qualifier pour le Masters à Shanghai."
Mercredi, le quotidien sportif français L'Equipe avait révélé qu'une expertise et une contre-expertise effectuées dans le laboratoire français de Châtenay-Malabry avaient décelé la présence d'étiléfrine dans les urines de Puerta lors de sa finale perdue à Roland-Garros en juin.
Le 10e joueur mondial avait aussitôt démenti les informations de L'Equipe, se déclarant "très en colère".
La prise de ce stimulant, utilisé contre l'hypotension, est passible d'une suspension de deux ans. Mais Puerta pourrait être suspendu à vie puisqu'il a déjà été frappé entre le 1er octobre 2003 et le 1er juillet 2004 d'une suspension de neuf mois après un contrôle positif au clenbuterol, un stéroïde anabolisant, en janvier 2003.
L'Argentin de 26 ans, tête de série N.1, a pourtant réussi à sauver trois balles de matches face au 101e joueur mondial au deuxième set dans un jeu décisif éprouvant pour les nerfs qu'il s'est finalement adjugé. Mais il a craqué dès l'entame du troisième set, perdant son service sur un jeu blanc qu'il n'est jamais parvenu à remonter.
A l'issue de sa défaite, Puerta a une nouvelle fois démenti les accusations de dopage qui pèsent sur lui. "Cela a été une surprise, a-t-il déclaré. Je n'ai pas pris de substances illicites comme l'a affirmé le journal français (L'Equipe). Depuis ma suspension il y a deux ans (pour dopage), je n'ai jamais pensé répéter la même chose."
"Je n'ai pas été malade durant les deux semaines des Internationaux de France et je n'ai même pas pris de médicaments, a-t-il ajouté. Les médecins m'ont donné des anti-inflammatoires pour ma jambe après les demi-finales, mais je ne les ai même pas utilisés."
Le joueur est ensuite revenu sur son match perdu face à Baghdatis. "J'ai réellement joué un bon tennis aujourd'hui, a estimé Puerta. J'étais très déçu d'avoir perdu, parce que je veux vraiment me qualifier pour le Masters à Shanghai."
Mercredi, le quotidien sportif français L'Equipe avait révélé qu'une expertise et une contre-expertise effectuées dans le laboratoire français de Châtenay-Malabry avaient décelé la présence d'étiléfrine dans les urines de Puerta lors de sa finale perdue à Roland-Garros en juin.
Le 10e joueur mondial avait aussitôt démenti les informations de L'Equipe, se déclarant "très en colère".
La prise de ce stimulant, utilisé contre l'hypotension, est passible d'une suspension de deux ans. Mais Puerta pourrait être suspendu à vie puisqu'il a déjà été frappé entre le 1er octobre 2003 et le 1er juillet 2004 d'une suspension de neuf mois après un contrôle positif au clenbuterol, un stéroïde anabolisant, en janvier 2003.