Qui veut du tournoi de New Haven?
Tennis samedi, 21 août 2010. 14:03 dimanche, 15 déc. 2024. 03:52
Quelques-uns des meilleurs joueurs et joueuses de tennis sont ou arriveront bientôt à Yale pour le dernier tournoi avant Flushing Meadows - tout comme des représentants d'une demi-douzaine de compagnies, qui seront courtisées dans le but d'assurer la survie de l'événement.
Pilot Pen retire sa commandite de deux millions $ et son nom du tournoi après 14 ans, invoquant le contexte économique difficile. Les dirigeants du tournoi sont donc à la recherche d'une ou de plusieurs entreprises pour prendre la relève - en souhaitant que cela mène à du concret, et que l'on n'assiste pas présentement à la dernière édition du tournoi.
«Nous avons des réponses intéressées et intéressantes, mais dans le contexte actuel, les compagnies ne consacrent pas de sommes additionnelles au monde du sport, a dit la directrice du tournoi, Anne Worcester. Nous sommes venus près d'ententes avec des multinationales, mais le 'timing' doit être bon, et il faut que ça puisse s'intégrer à leur image de marque.»
Worcester n'a pas identifié les compagnies intéressées, à part de dire qu'elles sont des milieux de l'assurance, des services financiers et des biens de consommation.
Worcester dit que l'entreprise idéale serait internationale et basée au Connecticut; elle se dit confiante de voir un sauveur se manifester d'ici un mois, mais elle avoue travailler sur des plans de rechange.
Il est aussi possible de voir Yale et des compagnies locales unir leurs forces pour une commandite de transition, qui donnerait un ou deux ans de plus pour trouver un commanditaire principal.
«Je pense que tous les scénarios vont être envisagés, a dit le porte-parole de la USTA Chris Widmaier. Notre but ultime reste tout de même de trouver un commanditaire principal et de garder le tournoi à New Haven, et dans la formule combinée (tableaux féminin et masculin).»
Pilot Pen retire sa commandite de deux millions $ et son nom du tournoi après 14 ans, invoquant le contexte économique difficile. Les dirigeants du tournoi sont donc à la recherche d'une ou de plusieurs entreprises pour prendre la relève - en souhaitant que cela mène à du concret, et que l'on n'assiste pas présentement à la dernière édition du tournoi.
«Nous avons des réponses intéressées et intéressantes, mais dans le contexte actuel, les compagnies ne consacrent pas de sommes additionnelles au monde du sport, a dit la directrice du tournoi, Anne Worcester. Nous sommes venus près d'ententes avec des multinationales, mais le 'timing' doit être bon, et il faut que ça puisse s'intégrer à leur image de marque.»
Worcester n'a pas identifié les compagnies intéressées, à part de dire qu'elles sont des milieux de l'assurance, des services financiers et des biens de consommation.
Worcester dit que l'entreprise idéale serait internationale et basée au Connecticut; elle se dit confiante de voir un sauveur se manifester d'ici un mois, mais elle avoue travailler sur des plans de rechange.
Il est aussi possible de voir Yale et des compagnies locales unir leurs forces pour une commandite de transition, qui donnerait un ou deux ans de plus pour trouver un commanditaire principal.
«Je pense que tous les scénarios vont être envisagés, a dit le porte-parole de la USTA Chris Widmaier. Notre but ultime reste tout de même de trouver un commanditaire principal et de garder le tournoi à New Haven, et dans la formule combinée (tableaux féminin et masculin).»