Ram a été surprotégé à Dubaï
Tennis mercredi, 25 févr. 2009. 14:30 dimanche, 15 déc. 2024. 12:54
DUBAI - L'Israélien Andy Ram, qui avait été autorisé à participer au tournoi de tennis de Dubaï cette semaine après que les instances du tennis ont fait pression sur les organisateurs de l'épreuve, s'est dit "soulagé" par les mesures extrêmes prises pour assurer sa sécurité.
L'Isarélien a été éliminé mercredi du tournoi de double au côté de son partenaire, le Zimbabwéen Kevin Ullyett, par la paire composée du Russe Marat Safin et de l'Espagnol David Ferrer 6-3, 3-6, 10-8.
"Je n'étais pas du tout inquiet", a déclaré Ram, qui a toutefois exprimé son "soulagement" en raison des moyens très élaborés pris pour sa sécurité.
Le joueur, qui n'était pas autorisé à utiliser son téléphone portable, a dû disputer son match après une inspection minutieuse du court par la police. Une seule personne avait le droit de l'interviewer, et ce, dans un endroit tenu secret.
L'arbitre, le Français Cédric Morier, aurait eu comme consigne de ne pas mentionner la nationalité du joueur lors de la présentation de la rencontre, et il semble qu'aucun juge de ligne arabe n'avait été retenu pour officier dans ce match.
"C'était différent, a-t-il estimé. C'était une expérience pour moi, une bonne expérience de venir ici. Evidemment, la priorité de tout le monde était d'assurer ma sécurité. Ils ont fait ce qu'ils ont pu pour ma sécurité, donc c'était différent, en bien, pas en mal."
Ram avait obtenu un visa d'entrée aux Emirats arabes unis après des menaces des instances internationales du tennis de retirer leur agrément au tournoi de Dubaï, dont l'épreuve féminine WTA s'est déroulée la semaine dernière sans la joueuse israélienne Shahar Peer, privée de visa.
L'Isarélien a été éliminé mercredi du tournoi de double au côté de son partenaire, le Zimbabwéen Kevin Ullyett, par la paire composée du Russe Marat Safin et de l'Espagnol David Ferrer 6-3, 3-6, 10-8.
"Je n'étais pas du tout inquiet", a déclaré Ram, qui a toutefois exprimé son "soulagement" en raison des moyens très élaborés pris pour sa sécurité.
Le joueur, qui n'était pas autorisé à utiliser son téléphone portable, a dû disputer son match après une inspection minutieuse du court par la police. Une seule personne avait le droit de l'interviewer, et ce, dans un endroit tenu secret.
L'arbitre, le Français Cédric Morier, aurait eu comme consigne de ne pas mentionner la nationalité du joueur lors de la présentation de la rencontre, et il semble qu'aucun juge de ligne arabe n'avait été retenu pour officier dans ce match.
"C'était différent, a-t-il estimé. C'était une expérience pour moi, une bonne expérience de venir ici. Evidemment, la priorité de tout le monde était d'assurer ma sécurité. Ils ont fait ce qu'ils ont pu pour ma sécurité, donc c'était différent, en bien, pas en mal."
Ram avait obtenu un visa d'entrée aux Emirats arabes unis après des menaces des instances internationales du tennis de retirer leur agrément au tournoi de Dubaï, dont l'épreuve féminine WTA s'est déroulée la semaine dernière sans la joueuse israélienne Shahar Peer, privée de visa.