Le joueur de tennis d'origine montréalaise Greg Rusedski a été blanchi des accusations de dopage qui pesaient contre lui, après avoir été testé positif à la nandrolone.

Le tribunal de L'ATP a statué unanimement qu'il n'était pas coupable des gestes qui lui étaient reprochés. Rusedski, qui a choisi de représenter les couleurs de l'Angleterre dans les années 90, a été testé positif au tournoi d'Indianapolis en juillet dernier et risquait une suspension de deux ans s'il avait été reconnu coupable. Les juges ont donc retenu sa défense qui s'appuyait sur des prétentions selon lesquelles les tests résultaient de suppléments contaminés fournis par des entraîneurs de l'ATP.

Le tennisman s'est dit extrêmement soulagé dans un communiqué. Il se dit heureux de pouvoir poursuivre sa carrière, blanchi de toute accusation.

Rusedski a toujours nié avoir utilisé des stéroïdes et maintenait que ses tests étaient similaires à ceux de sept autres joueurs du circuit qui ont été testés positifs à la nandrolone mais qui ont aussi été blanchis.

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