Safina et Hingis en finale
Tennis samedi, 20 mai 2006. 11:57 vendredi, 13 déc. 2024. 22:32
ROME, 20 mai 2006 (AFP) - La Russe Dinara Safina (N.16) et la Suissesse Martina Hingis disputeront dimanche la finale du tournoi de tennis sur terre battue de Rome, épreuve du circuit WTA, au Foro Italico.
Safina, 20 ans, 19e mondiale, s'est imposée en trois sets 3-6, 6-4, 7-5, face à sa compatriote Kuznetsova (10e) à l'issue d'un match d'un match de 2h 41 minutes, intense et incertain jusqu'à la dernière balle, entre deux cogneuses de fond du court.
"Cela a été une sévère bataille surtout dans le deuxième set, j'ai joué chaque point sans trop m'occuper du résultat. Pour moi le rêve continue", a commenté Safina, qui avait éliminé durant la semaine la Belge Kim Clijsters, 2e mondiale.
Kuznetsova avait très bien entamé le match, empochant sans bavure le premier set 6-3 alors que Safina était plus lente à entrer en action.
Sur sa lancée, elle a mené 3 à 2 dans la deuxième manche, mais elle a gâché plusieurs occasions de faire le break. En dépit de 8 aces, elle permettait à sa rivale de revenir et de s'assurer la manche 6-4, sur un magnifique retour de coup droit plein champ.
Dans le set décisif, les deux joueuses restaient au contact jusqu'au 9e jeu. Safina, plus fraîche, réussissait à faire le break au 10e jeu, avant de s'imposer dès sa première balle de match.
Pour sa part, Martina Hingis, qui revient progressivement au plus haut niveau après une longue absence, a écarté l'Américaine Venus Williams (N.9), en trois sets 0-6, 6-3, 6-3, après une partie d'une heure et demie assez décousue dans l'ensemble.
De retour à Rome pour la première fois depuis l'an 2000, Hingis a concédé le premier set 6-0. "Aucun coup ne voulait passer, tout allait mal, j'aurais voulu pleurer, mais je me suis lors appliquée à jouer mon jeu sans songer à rien d'autre...", a-t-elle expliqué.
Mieux en jambes, plus précise, elle a trouvé ses marques dans le 2e set, désamorçant la puissance de Williams grâce à une meilleure variété de coups.
Revenue à un set partout, la Suissesse a fait le break au 8e jeu de la manche décisive pour conclure à la première balle de match. "Je n'arrive pas à y croire", a lancé Hingis.
Safina, 20 ans, 19e mondiale, s'est imposée en trois sets 3-6, 6-4, 7-5, face à sa compatriote Kuznetsova (10e) à l'issue d'un match d'un match de 2h 41 minutes, intense et incertain jusqu'à la dernière balle, entre deux cogneuses de fond du court.
"Cela a été une sévère bataille surtout dans le deuxième set, j'ai joué chaque point sans trop m'occuper du résultat. Pour moi le rêve continue", a commenté Safina, qui avait éliminé durant la semaine la Belge Kim Clijsters, 2e mondiale.
Kuznetsova avait très bien entamé le match, empochant sans bavure le premier set 6-3 alors que Safina était plus lente à entrer en action.
Sur sa lancée, elle a mené 3 à 2 dans la deuxième manche, mais elle a gâché plusieurs occasions de faire le break. En dépit de 8 aces, elle permettait à sa rivale de revenir et de s'assurer la manche 6-4, sur un magnifique retour de coup droit plein champ.
Dans le set décisif, les deux joueuses restaient au contact jusqu'au 9e jeu. Safina, plus fraîche, réussissait à faire le break au 10e jeu, avant de s'imposer dès sa première balle de match.
Pour sa part, Martina Hingis, qui revient progressivement au plus haut niveau après une longue absence, a écarté l'Américaine Venus Williams (N.9), en trois sets 0-6, 6-3, 6-3, après une partie d'une heure et demie assez décousue dans l'ensemble.
De retour à Rome pour la première fois depuis l'an 2000, Hingis a concédé le premier set 6-0. "Aucun coup ne voulait passer, tout allait mal, j'aurais voulu pleurer, mais je me suis lors appliquée à jouer mon jeu sans songer à rien d'autre...", a-t-elle expliqué.
Mieux en jambes, plus précise, elle a trouvé ses marques dans le 2e set, désamorçant la puissance de Williams grâce à une meilleure variété de coups.
Revenue à un set partout, la Suissesse a fait le break au 8e jeu de la manche décisive pour conclure à la première balle de match. "Je n'arrive pas à y croire", a lancé Hingis.