Sans entraîneur, Federer est heureux
Tennis mercredi, 15 août 2007. 09:49 vendredi, 13 déc. 2024. 22:57
CINCINNATI - Le Suisse Roger Federer, N.1 mondial, s'est interrogé mardi sur la nécessité de s'attacher les services d'un entraîneur dans sa quête de titres du grand Chelem.
Après sa décision de mettre un terme à sa collaboration avec l'Australien Tony Roche en mai, Federer a continué sur le même rythme, soulevant le trophée de Wimbledon pour la 5e année consécutive.
"Est-ce que je veux un coach ? Si c'est le cas, est-ce que je veux quelqu'un pour ramasser les balles ou quelqu'un pour m'accompagner partout ?", s'est interrogé la tête de série N.1 du Masters Series de Cincinnati, en vue de l'US Open (27 août - 9 septembre).
"J'ai commencé à y penser après Wimbledon, je dois m'interroger sur ce que je veux et ce dont j'ai besoin. Je ne suis pas sûr du tout. Je suis très bien tout seul", a admis le Suisse, 26 ans.
"Si je prend un entraîneur, ce doit être la bonne personne, a déclaré Federer. Je suis le numéro un mondial et je ne veux pas prendre de risques. Tout ce que je décide doit être mûrement réfléchi."
Le Suisse a convenu qu'il prendrait une décision au début de l'année prochaine: "À ce moment-là éventuellement, durant l'Open d'Australie, je saurais quelque chose... ou peut être pas".
Après sa décision de mettre un terme à sa collaboration avec l'Australien Tony Roche en mai, Federer a continué sur le même rythme, soulevant le trophée de Wimbledon pour la 5e année consécutive.
"Est-ce que je veux un coach ? Si c'est le cas, est-ce que je veux quelqu'un pour ramasser les balles ou quelqu'un pour m'accompagner partout ?", s'est interrogé la tête de série N.1 du Masters Series de Cincinnati, en vue de l'US Open (27 août - 9 septembre).
"J'ai commencé à y penser après Wimbledon, je dois m'interroger sur ce que je veux et ce dont j'ai besoin. Je ne suis pas sûr du tout. Je suis très bien tout seul", a admis le Suisse, 26 ans.
"Si je prend un entraîneur, ce doit être la bonne personne, a déclaré Federer. Je suis le numéro un mondial et je ne veux pas prendre de risques. Tout ce que je décide doit être mûrement réfléchi."
Le Suisse a convenu qu'il prendrait une décision au début de l'année prochaine: "À ce moment-là éventuellement, durant l'Open d'Australie, je saurais quelque chose... ou peut être pas".