Un premier titre en neuf ans pour Dokic
Tennis dimanche, 6 mars 2011. 11:11 dimanche, 15 déc. 2024. 06:00
KUALA LUMPUR - L'Australienne Jelena Dokic a remporté son premier titre depuis près de neuf ans en battant la Tchèque Lucie Safarova 2-6, 7-6 (7), 6-4 en finale du tournoi WTA de Kuala Lumpur, dimanche.
Jelena Dokic, une ancienne demi-finaliste à Wimbledon en 2000, 91e mondiale au moment de sa finale (la 13e de sa carrière), a vaincu Safarova, 35e mondiale, à l'issue d'une interminable partie qui a duré 2 h 40 min, pour soulever à près de 28 ans (le 12 avril) son premier trophée depuis celui de Birmingham en 2003.
Ce match a donné lieu à de longs et spectaculaires échanges. À une Dokic très puissante et régulière du fond du court, Safarova a répondu par de cinglants retours et un service très efficace.
Mais l'Australienne d'origine croate, malgré la perte du premier set, n'a jamais perdu son calme, et est parvenue à faire commettre à Safarova, dont c'était la neuvième finale WTA à 24 ans, plus de fautes directes.
"Je me suis concentrée sur chaque point. Elle a commis quelques fautes directes, ce dont j'ai tiré profit", a confirmé Dokic, ex-no 4 mondiale en 2002, qui disputait sa première finale depuis celle de Zurich en 2003.
Depuis, la carrière de cette joueuse, minée par une relation compliquée avec son père, avait connu peu de hauts et beaucoup de bas, la plongeant même jusqu'au-delà de la 600e place mondiale.
Jelena Dokic, une ancienne demi-finaliste à Wimbledon en 2000, 91e mondiale au moment de sa finale (la 13e de sa carrière), a vaincu Safarova, 35e mondiale, à l'issue d'une interminable partie qui a duré 2 h 40 min, pour soulever à près de 28 ans (le 12 avril) son premier trophée depuis celui de Birmingham en 2003.
Ce match a donné lieu à de longs et spectaculaires échanges. À une Dokic très puissante et régulière du fond du court, Safarova a répondu par de cinglants retours et un service très efficace.
Mais l'Australienne d'origine croate, malgré la perte du premier set, n'a jamais perdu son calme, et est parvenue à faire commettre à Safarova, dont c'était la neuvième finale WTA à 24 ans, plus de fautes directes.
"Je me suis concentrée sur chaque point. Elle a commis quelques fautes directes, ce dont j'ai tiré profit", a confirmé Dokic, ex-no 4 mondiale en 2002, qui disputait sa première finale depuis celle de Zurich en 2003.
Depuis, la carrière de cette joueuse, minée par une relation compliquée avec son père, avait connu peu de hauts et beaucoup de bas, la plongeant même jusqu'au-delà de la 600e place mondiale.