BRUXELLES – La Belge Kim Clijsters, ancienne numéro 1 mondiale qui a effectué son retour à la compétition lundi à Dubaï, a dû se soumettre à six contrôles antidopage avant de pouvoir réintégrer le circuit WTA.

Selon le règlement et les statistiques de l'ITF (Fédération internationale de tennis) publiés cette semaine, la Belge, absente des courts depuis sept ans, a dû se plier à ces contrôles en tant que joueuse « réintégrée ».

Clijsters, 36 ans, n'avait plus disputé de tournoi depuis sa « retraite » il y a sept ans, avant d'annoncer son retour sur le circuit WTA pour début 2020.

Elle a donc subi des contrôles hors compétition depuis l'annonce de son retour l'été dernier, conformément aux règles de l'ITF, afin de pouvoir reprendre la compétition en 2020 avec le statut de joueuse « réintégrée ».

Lundi, la triple lauréate des Internationaux des États-Unis (2005, 2009 et 2010) a été battue 6-2, 7-6 (6) par l'Espagnole Garbine Muguruza au 1er tour du tournoi de Dubaï.