Un centre de contrôles antidopage
Jeux olympiques mercredi, 8 août 2007. 10:08 jeudi, 12 déc. 2024. 00:02
SYDNEY - Environ 4500 contrôles antidopage seront pratiqués lors des Jeux olympiques de Pékin afin d'éviter une répétition du scandale qui s'était produit aux Jeux d'Athènes en 2004, a déclaré mercredi le président du Comité olympique australien John Coates.
Pékin est en train de construire un centre où ces contrôles seront effectués pendant les Jeux l'an prochain (8-24 août), soit 20% de plus qu'en 2004 à Athènes, a indiqué M. Coates, à son retour d'une visite dans la capitale chinoise pour visiter des sites olympiques.
"Il nous a été confirmé quand j'étais à Pékin qu'il y aurait 4500 contrôles sanguins et urinaires pendant les Jeux, sur un total de 10500 athlètes. "Cela représente une augmentation de 90% par rapport aux Jeux de Sydney en 2000".
"Les contrôles commenceront dès l'ouverture du Village Olympique. Je serais très surpris que les Chinois aient le moindre problème de dopage comme cela avait été le cas avec les Grecs", a-t-il ajouté.
Deux athlètes grecs, Kostas Kenteris et Ekaterini Thanou, avaient été exclus des Jeux d'Athènes pour s'être soustraits à un contrôle antidopage, à la veille de l'ouverture de la compétition, en prétextant un accident de moto.
John Coates a estimé que le monde sportif était désormais mieux armé pour débusquer les tricheurs, même si la partie est loin d'être gagnée.
Pékin est en train de construire un centre où ces contrôles seront effectués pendant les Jeux l'an prochain (8-24 août), soit 20% de plus qu'en 2004 à Athènes, a indiqué M. Coates, à son retour d'une visite dans la capitale chinoise pour visiter des sites olympiques.
"Il nous a été confirmé quand j'étais à Pékin qu'il y aurait 4500 contrôles sanguins et urinaires pendant les Jeux, sur un total de 10500 athlètes. "Cela représente une augmentation de 90% par rapport aux Jeux de Sydney en 2000".
"Les contrôles commenceront dès l'ouverture du Village Olympique. Je serais très surpris que les Chinois aient le moindre problème de dopage comme cela avait été le cas avec les Grecs", a-t-il ajouté.
Deux athlètes grecs, Kostas Kenteris et Ekaterini Thanou, avaient été exclus des Jeux d'Athènes pour s'être soustraits à un contrôle antidopage, à la veille de l'ouverture de la compétition, en prétextant un accident de moto.
John Coates a estimé que le monde sportif était désormais mieux armé pour débusquer les tricheurs, même si la partie est loin d'être gagnée.