Dopage aux Universiades
Universitaires mardi, 14 août 2007. 14:53 jeudi, 12 déc. 2024. 05:22
BANGKOK - Un scandale de dopage et une regrettable bagarre dans un match de soccer entre la Thaïlande et le Mexique ont ponctué les Jeux universitaires mondiaux, mardi.
Après six jours de compétitions, les Mondiaux universitaires ont enregistré des cas positifs de dopage, comme cela a été le cas pour d'autres récents événements internationaux multisports, dont les Jeux asiatiques à Doha, au Qatar, l'année dernière, les Jeux olympiques de Turin et le Jeux du Commonwealth, en Australie.
Le responsable de la commission de dopage des Jeux universitaires a confirmé, mardi, qu'on avait enregistré des tests de dopage positifs, mais il n'a pas voulu dire le nombre d'athlètes impliqués ni révéler leur identité.
"Nous ne pouvons fournir de détails en ce moment mais il y a eu des tests positifs, a révélé le Dr. Lawrence Rink, président de la commission médicale de la Fédération internationale du sport universitaire (FISU). Les détails demeureront confidentiels jusqu'à la conclusion de la période d'appel. Nous informerons l'Agence mondiale antidopage de chaque cas."
Quatre joueurs ont par ailleurs été expulsés d'un match de soccer, que la Thaïlande a remporté 1-0 lundi pour se qualifier pour les demi-finales. Mardi, les dirigeants des Jeux et la FISU examinaient l'opportunité d'imposer des sanctions à l'encontre des deux équipes. Les dirigeants de l'équipe thaïlandaise se sont ensuite excusés pour cette mêlée, qui a également impliqué des spectateurs.
Rink a révélé que les sanctions envers ceux qui ont échoué les tests de dépistage pourraient varier.
"Dans le cas d'une première infraction, la pénalité pourrait varier entre un avertissement et une suspension de deux ans", a dit Rink.
"Par exemple, si un athlète a acheté un médicament pour soigner une grippe dans une pharmacie deux jours avant son test de dépistage, ce peut être une utilisation par inadvertance et la sanction serait plus légère que dans le cas d'utilisation de stéroïde, a-t-il expliqué. Bien sûr, si la personne a déjà fait l'objet d'un test positif, il y aurait des raisons de croire que ce n'est pas accidentel. Pour les médaillés, ils devront remettre leur médaille."
Après six jours de compétitions, les Mondiaux universitaires ont enregistré des cas positifs de dopage, comme cela a été le cas pour d'autres récents événements internationaux multisports, dont les Jeux asiatiques à Doha, au Qatar, l'année dernière, les Jeux olympiques de Turin et le Jeux du Commonwealth, en Australie.
Le responsable de la commission de dopage des Jeux universitaires a confirmé, mardi, qu'on avait enregistré des tests de dopage positifs, mais il n'a pas voulu dire le nombre d'athlètes impliqués ni révéler leur identité.
"Nous ne pouvons fournir de détails en ce moment mais il y a eu des tests positifs, a révélé le Dr. Lawrence Rink, président de la commission médicale de la Fédération internationale du sport universitaire (FISU). Les détails demeureront confidentiels jusqu'à la conclusion de la période d'appel. Nous informerons l'Agence mondiale antidopage de chaque cas."
Quatre joueurs ont par ailleurs été expulsés d'un match de soccer, que la Thaïlande a remporté 1-0 lundi pour se qualifier pour les demi-finales. Mardi, les dirigeants des Jeux et la FISU examinaient l'opportunité d'imposer des sanctions à l'encontre des deux équipes. Les dirigeants de l'équipe thaïlandaise se sont ensuite excusés pour cette mêlée, qui a également impliqué des spectateurs.
Rink a révélé que les sanctions envers ceux qui ont échoué les tests de dépistage pourraient varier.
"Dans le cas d'une première infraction, la pénalité pourrait varier entre un avertissement et une suspension de deux ans", a dit Rink.
"Par exemple, si un athlète a acheté un médicament pour soigner une grippe dans une pharmacie deux jours avant son test de dépistage, ce peut être une utilisation par inadvertance et la sanction serait plus légère que dans le cas d'utilisation de stéroïde, a-t-il expliqué. Bien sûr, si la personne a déjà fait l'objet d'un test positif, il y aurait des raisons de croire que ce n'est pas accidentel. Pour les médaillés, ils devront remettre leur médaille."