Kelly Paddon suspendu pour dopage
Universitaires mercredi, 16 janv. 2002. 15:59 jeudi, 12 déc. 2024. 04:46
Ottawa, - Sport interuniversitaire canadien (SIC) a annoncé aujourd'hui que Kelly Paddon, membre de l'équipe masculine de hockey sur glace de l'Université Western Ontario, a été suspendu suite à une infraction de dopage. Il pourra toutefois être réintégré en vertu des dispositions d'infractions de catégorie 1.
Paddon a participé à un contrôle inopiné le 17 novembre dernier. Le contrôle a été réalisé par le Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCÉS) lors d'une compétition encadrée par SIC. Le CCÉS a informé le bureau du SIC que l'échantillon prélevé contenait un niveau élevé d'éphédrine.
Selon le Règlement canadien sur le contrôle du dopage, la levée d'une
suspension de catégorie 1 est possible pour les personnes impliquées pour la première fois dans la consommation d'une substance proscrite de la classe des stimulants. La suspension de Paddon sera donc levée à compter du 17 février 2002, soit trois mois après la date du contrôle positif. Kelly Paddon peut d'ici le 25 janvier contester le résultat du CCÉS et demander que l'échantillon B soit analysé. Si son protêt est rejeté, il dispose alors de dix jours pour interjeter l'appel.
Les règlements de Sport interuniversitaire canadien ne prévoient aucune
autre sanction. Ces mêmes règlements précisent que l'équipe de Paddon ne sera pas sanctionnée et que les résultats, records et prix gagnés ne seront pas touchés. Paddon, un défenseur de 6 pieds 2 pouces portant les couleurs des Mustangs, en est à sa deuxième année d'admissibilité sportive à l'Université Western Ontario.
«Kelly Paddon, a malheureusement été testé positif pour des substances
bannies», commentait pour sa part Dan Smith, directeur des programmes
sportifs et récréatifs à l'Université Western Ontario.
«Membre important des Mustangs depuis qu'il a joint les rangs de cette
équipe la saison dernière, Kelly a déclaré regretter la situation et espère que celle-ci n'affectera pas négativement ses coéquipiers, le personnel d'entraîneurs de Western ou l'Université. À ce moment, notre focus est de lui porter assistance pour passer au travers de cette situation».
«À chaque année, avant le début des calendriers de saison, tous les
étudiants-athlètes de Western participent à un programme d'éducation sur les drogues. Ils reçoivent aussi l'information sur le programme de contrôle de dopage du SIC. L'Université Western Ontario s'oppose à l'utilisation de substances bannies dans le sport et continuera à travailler en collaboration avec le SIC ainsi qu'avec nos étudiants-athlètes, entraîneurs et administrateurs afin d'améliorer nos programmes d'éducation sur les drogues tout en pronant le principe du sport sans drogue», assure Dan Smith.
«Nous sommes très déçus de ce test positif. Bien que nous compassions avec cet étudiant-athlète, nous demeurons fermement opposé à l'usage de drogues proscrites, commentait Marg McGregor, directrice générale de SIC. Nous continuerons de collaborer étroitement avec le CCÉS dans la poursuite de nos efforts d'éducation sur les drogues et sur le programme de contrôle antidopage».
SIC a lancé son programme antidopage en 1990 et depuis ce temps 3639 tests ont été effectués par le CCÉS pour le compte de SIC et sur ce nombre, 27 infractions ont été repérées pour une faible moyenne de 0,74 %.
Paddon a participé à un contrôle inopiné le 17 novembre dernier. Le contrôle a été réalisé par le Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCÉS) lors d'une compétition encadrée par SIC. Le CCÉS a informé le bureau du SIC que l'échantillon prélevé contenait un niveau élevé d'éphédrine.
Selon le Règlement canadien sur le contrôle du dopage, la levée d'une
suspension de catégorie 1 est possible pour les personnes impliquées pour la première fois dans la consommation d'une substance proscrite de la classe des stimulants. La suspension de Paddon sera donc levée à compter du 17 février 2002, soit trois mois après la date du contrôle positif. Kelly Paddon peut d'ici le 25 janvier contester le résultat du CCÉS et demander que l'échantillon B soit analysé. Si son protêt est rejeté, il dispose alors de dix jours pour interjeter l'appel.
Les règlements de Sport interuniversitaire canadien ne prévoient aucune
autre sanction. Ces mêmes règlements précisent que l'équipe de Paddon ne sera pas sanctionnée et que les résultats, records et prix gagnés ne seront pas touchés. Paddon, un défenseur de 6 pieds 2 pouces portant les couleurs des Mustangs, en est à sa deuxième année d'admissibilité sportive à l'Université Western Ontario.
«Kelly Paddon, a malheureusement été testé positif pour des substances
bannies», commentait pour sa part Dan Smith, directeur des programmes
sportifs et récréatifs à l'Université Western Ontario.
«Membre important des Mustangs depuis qu'il a joint les rangs de cette
équipe la saison dernière, Kelly a déclaré regretter la situation et espère que celle-ci n'affectera pas négativement ses coéquipiers, le personnel d'entraîneurs de Western ou l'Université. À ce moment, notre focus est de lui porter assistance pour passer au travers de cette situation».
«À chaque année, avant le début des calendriers de saison, tous les
étudiants-athlètes de Western participent à un programme d'éducation sur les drogues. Ils reçoivent aussi l'information sur le programme de contrôle de dopage du SIC. L'Université Western Ontario s'oppose à l'utilisation de substances bannies dans le sport et continuera à travailler en collaboration avec le SIC ainsi qu'avec nos étudiants-athlètes, entraîneurs et administrateurs afin d'améliorer nos programmes d'éducation sur les drogues tout en pronant le principe du sport sans drogue», assure Dan Smith.
«Nous sommes très déçus de ce test positif. Bien que nous compassions avec cet étudiant-athlète, nous demeurons fermement opposé à l'usage de drogues proscrites, commentait Marg McGregor, directrice générale de SIC. Nous continuerons de collaborer étroitement avec le CCÉS dans la poursuite de nos efforts d'éducation sur les drogues et sur le programme de contrôle antidopage».
SIC a lancé son programme antidopage en 1990 et depuis ce temps 3639 tests ont été effectués par le CCÉS pour le compte de SIC et sur ce nombre, 27 infractions ont été repérées pour une faible moyenne de 0,74 %.