Le Sic dévoile les résultats de son étude annuelle sur les bourses sportives
Universitaires mardi, 17 déc. 2002. 16:29 dimanche, 15 déc. 2024. 00:09
Ottawa - Sport interuniversitaire canadien (SIC) publie aujourd'hui un bilan fort impressionnant sur la situation des bourses d'études sportives dans les universités canadiennes.
SIC a modifié ses règles à ce sujet il y a deux ans et les universités membres ont convenu lors de leurs assises annuelles de juin 2000 de rapporter annuellement toute l'aide financière distribuée aux milliers d'étudiantes et d'étudiants athlètes membres des équipes interuniversitaires. Une démarche qui démontre la volonté de transparence et d'ouverture des membres de SIC. Les universités ont aussi accepté d'assurer une distribution proportionnelle d'ici 2005-2006 des sommes octroyées aux femmes et aux hommes selon le nombre d'étudiantes et d'étudiants athlètes inscrits aux programmes interuniversitaires.
Les données recueillies démontrent que les universités canadiennes ont accordé 3 430 000 $ en bourses d'études sportives pour l'année universitaire 2001-2002. De plus, les étudiantes et étudiants athlètes de SIC ont bénéficié d'au-delà de 4,1 M$ versé en bourses académiques ou de soutien des fédérations sportives et des gouvernements provinciaux et fédéral.
L'analyse des données colligées au mois de novembre 2002 indique que les universités versent des bourses d'études sportives à leurs étudiantes et étudiants athlètes pour trois raisons principales :
a) pour appuyer et reconnaître l'excellence sportive des étudiantes et des étudiants qui réussissent à poursuivre des études supérieures en conciliant les deux vocations;
b) pour aider financièrement les étudiants et étudiantes athlètes qui ne peuvent se faire des revenus d'appoint avec un travail à temps partiel en raison de leurs obligations académiques et sportives;
c) pour aider au recrutement et au maintien d'équipes compétitives, et pour inciter les jeunes Canadiens doués aux plans académique et sportif à fréquenter une université canadienne.
« Nous sommes très fiers de la réussite académique et sportive de nos étudiantes et étudiants athlètes. C'est ainsi que se démarque le sport universitaire canadien », de dire Judy McCrae, la présidente de SIC. L'an dernier, plus de 1700 étudiantes et étudiants athlètes ont été reconnus au Tableau d'honneur académique canadien RBC pour avoir réussi à maintenir une moyenne de 80 % ou mieux dans leurs études tout en consacrant beaucoup de temps et d'énergie à leurs équipes sportives.
Environ un étudiant sur quatre, membre des équipes sportives de SIC, a reçu une bourse d'études sportive au montant moyen de 1405 $. Une aide significative quand on constate que les frais de scolarité sont beaucoup plus raisonnables au Canada que chez nos voisins du sud. La moyenne canadienne de ces frais étant de 4100 $ au premier cycle.
Quant à la recherche d'équité entre les femmes et les hommes, l'étude démontre qu'en 2001-2002, 67 % des montants a été octroyé aux athlètes masculins, qui représentent environ 54 % de la participation aux activités de SIC. Les membres de SIC maintiennent leur promesse d'assurer la parité proportionnelle à la participation d'ici 2005.
La contribution des universités aux bourses d'études représente qu'une infirme partie du support accordé par les universités canadiennes à ses athlètes interuniversitaires. Pour Marg Mgregor, directrice générale de SIC, « le soutien des universités membres de SIC à l'endroit du système sportif canadien et des athlètes universitaires est très considérable quand on tient compte des nombreuses installations construites pour la pratique sportive de haut niveau, des centaines d'entraîneurs d'élite embauchés par les
universités, des dizaines de ligues encadrées par SIC et par l'accueil des nombreux camps d'entraînement et d'événements sportifs d'envergure regroupant des athlètes d'élite. »
Les bourses d'études sportives sont dispensées aux athlètes de toutes les disciplines de SIC. Chez les hommes, le plus grand nombre est octroyé au hockey, au football et au basketball. Chez les femmes, les athlètes évoluant au basketball, au volleyball et au soccer reçoivent une part importante de l'aide financière distribuée sous forme de bourses.
Cette étude et les données recueillies permettent à SIC de s'assurer du respect de ses règles sur les bourses sportives et que les bourses octroyées par les universités canadiennes le sont selon les politiques de Sport interuniversitaire canadien et de l'université qui les offre. « Nous venons de compléter notre deuxième étude annuelle et nous allons continuer d'améliorer la qualité de la cueillette des données et de leur analyse. Cette démarche va nous permettre d'ici quelques années de dégager des conclusions plus nuancées et plus définitives », d'ajouter Judy McCrae.
SIC a modifié ses règles à ce sujet il y a deux ans et les universités membres ont convenu lors de leurs assises annuelles de juin 2000 de rapporter annuellement toute l'aide financière distribuée aux milliers d'étudiantes et d'étudiants athlètes membres des équipes interuniversitaires. Une démarche qui démontre la volonté de transparence et d'ouverture des membres de SIC. Les universités ont aussi accepté d'assurer une distribution proportionnelle d'ici 2005-2006 des sommes octroyées aux femmes et aux hommes selon le nombre d'étudiantes et d'étudiants athlètes inscrits aux programmes interuniversitaires.
Les données recueillies démontrent que les universités canadiennes ont accordé 3 430 000 $ en bourses d'études sportives pour l'année universitaire 2001-2002. De plus, les étudiantes et étudiants athlètes de SIC ont bénéficié d'au-delà de 4,1 M$ versé en bourses académiques ou de soutien des fédérations sportives et des gouvernements provinciaux et fédéral.
L'analyse des données colligées au mois de novembre 2002 indique que les universités versent des bourses d'études sportives à leurs étudiantes et étudiants athlètes pour trois raisons principales :
a) pour appuyer et reconnaître l'excellence sportive des étudiantes et des étudiants qui réussissent à poursuivre des études supérieures en conciliant les deux vocations;
b) pour aider financièrement les étudiants et étudiantes athlètes qui ne peuvent se faire des revenus d'appoint avec un travail à temps partiel en raison de leurs obligations académiques et sportives;
c) pour aider au recrutement et au maintien d'équipes compétitives, et pour inciter les jeunes Canadiens doués aux plans académique et sportif à fréquenter une université canadienne.
« Nous sommes très fiers de la réussite académique et sportive de nos étudiantes et étudiants athlètes. C'est ainsi que se démarque le sport universitaire canadien », de dire Judy McCrae, la présidente de SIC. L'an dernier, plus de 1700 étudiantes et étudiants athlètes ont été reconnus au Tableau d'honneur académique canadien RBC pour avoir réussi à maintenir une moyenne de 80 % ou mieux dans leurs études tout en consacrant beaucoup de temps et d'énergie à leurs équipes sportives.
Environ un étudiant sur quatre, membre des équipes sportives de SIC, a reçu une bourse d'études sportive au montant moyen de 1405 $. Une aide significative quand on constate que les frais de scolarité sont beaucoup plus raisonnables au Canada que chez nos voisins du sud. La moyenne canadienne de ces frais étant de 4100 $ au premier cycle.
Quant à la recherche d'équité entre les femmes et les hommes, l'étude démontre qu'en 2001-2002, 67 % des montants a été octroyé aux athlètes masculins, qui représentent environ 54 % de la participation aux activités de SIC. Les membres de SIC maintiennent leur promesse d'assurer la parité proportionnelle à la participation d'ici 2005.
La contribution des universités aux bourses d'études représente qu'une infirme partie du support accordé par les universités canadiennes à ses athlètes interuniversitaires. Pour Marg Mgregor, directrice générale de SIC, « le soutien des universités membres de SIC à l'endroit du système sportif canadien et des athlètes universitaires est très considérable quand on tient compte des nombreuses installations construites pour la pratique sportive de haut niveau, des centaines d'entraîneurs d'élite embauchés par les
universités, des dizaines de ligues encadrées par SIC et par l'accueil des nombreux camps d'entraînement et d'événements sportifs d'envergure regroupant des athlètes d'élite. »
Les bourses d'études sportives sont dispensées aux athlètes de toutes les disciplines de SIC. Chez les hommes, le plus grand nombre est octroyé au hockey, au football et au basketball. Chez les femmes, les athlètes évoluant au basketball, au volleyball et au soccer reçoivent une part importante de l'aide financière distribuée sous forme de bourses.
Cette étude et les données recueillies permettent à SIC de s'assurer du respect de ses règles sur les bourses sportives et que les bourses octroyées par les universités canadiennes le sont selon les politiques de Sport interuniversitaire canadien et de l'université qui les offre. « Nous venons de compléter notre deuxième étude annuelle et nous allons continuer d'améliorer la qualité de la cueillette des données et de leur analyse. Cette démarche va nous permettre d'ici quelques années de dégager des conclusions plus nuancées et plus définitives », d'ajouter Judy McCrae.