Scénario peu familier pour Laval
Universitaires dimanche, 22 oct. 2006. 00:30 samedi, 14 déc. 2024. 23:48
QUÉBEC Comme tout le monde s'y attendait, les équipes de volleyball des Carabins de Montréal venaient au PEPS de l'Université Laval pour offrir toute une opposition et idéalement causer une certaine surprise.
Chez les hommes, les Montréalais ont enlevé le premier set, mais les trois manches suivantes ont été l'affaire des protégés de l'entraîneur Pascal Clément. Chez les dames, l'Université de Montréal a réussi sa mission en défaisant les championnes canadiennes en titre en quatre manches.
«C'est choquant, a lancé l'entraîneur-chef de l'équipe féminine Rouge et Or, Benoît Robitaille, après la rencontre. Montréal n'a pas si bien joué et nous, encore moins.»
La défaite est difficile pour les femmes qui n'avaient pas subi un seul revers en 2005-2006. La partie n'a pas été si facile pour autant pour l'Université de Montréal. Les Montréalaises ont remporté péniblement le premier set 25-23, mais le Rouge et Or a créé l'égalité en enlevant le deuxième set au compte de 25-21. Les gens présents au PEPS pensaient alors que l'Université Laval avait le vent dans les voiles.
Les Lavalloises ont cependant connu un troisième set qualifié «d'affreux» par Benoît Robitaille, une manche qui s'est terminée 25 à 13 en faveur des Carabins. En retard deux manches contre une, le Rouge et Or menait 23-19 et un cinquième set s'annonçait nécessaire pour déterminer les gagnantes. Les Carabins ont toutefois renversé la vapeur, créant l'égalité 24-24. Par la suite, des échanges spectaculaires ont suivi et c'est finalement à l'avantage de l'équipe montréalaise que le match s'est soldé 31-29.
Malgré la défaite, Benoît Robitaille se faisait philosophe. «Il y a tout de même du positif. Amélie Rivet a très bien exécuté les nouvelles stratégies que je lui ai demandées et Valérie Lemay a joué son meilleur match de la saison. Il faut se servir de cette partie comme expérience», a déclaré celui qui une fois de plus a perdu les services de Marylène Laplante pendant l'affrontement. La joueuse universitaire par excellence au Canada l'an passé jouait blessée et a dû quitter au cours du troisième set.
Au chapitre individuel, Marie-Christine Mondor du Rouge et Or a réussi 12 attaques marquantes, alors qu'Élise Duchesne récupérait 21 balles en défensives. Pour Montréal, Laetitia Tchoualack a été la meilleure des siennes avec 20 attaques marquantes.
Les hommes se relèvent et gagnent
L'équipe masculine Rouge et Or a donné tout un spectacle à ses partisans contre des Carabins qui ont commencé en force. Après avoir vu les visiteurs remporter le premier set 25-18, le Rouge et Or a repris le contrôle graduellement en deuxième manche, l'emportant 25-21.
«Nous n'étions pas assez audacieux au début et Montréal a très bien joué au premier set», a souligné Pascal Clément.
Par la suite, les Lavallois ont profité de leur rythme pour prendre rapidement les devants 10-4 au troisième set, mais c'était compter Montréal battu trop rapidement. Les Carabins sont venus près de prendre l'avance à deux reprises, mais le Rouge et Or a répliqué avec une série de points à chaque fois pour distancer de nouveau ses opposants, et les locaux ont enlevé le troisième set 25-20.
Un scénario semblable s'est reproduit lors du quatrième set où Laval a mené du début à la fin, mais avec de minces avances de 12-10 et de 19-18 entre autres. «Nous avons recommencé à faire les choses simples à partir du deuxième set et les gars ont bien répondu, a mentionné l'entraîneur-chef du Rouge et Or. Il était tôt pour peser sur le bouton rouge après la première manche.»
Au terme de la rencontre, les attaquants Hubert Poirier et Vincent Demers-Caron avaient 13 et 11 attaques marquantes respectivement. Pour les Carabins, Emmanuel André-Morin avec 14 et Dimitri Édouard avec 11 ont été les plus dominants à ce chapitre.
Le prochain match local des équipes féminine et masculine de volleyball sera le 3 novembre au Grand gymnase du PEPS et l'Université McGill sera en visite à Québec pour l'occasion. Les dames jouent à 18 h et les hommes suivent à 20 h.
Chez les hommes, les Montréalais ont enlevé le premier set, mais les trois manches suivantes ont été l'affaire des protégés de l'entraîneur Pascal Clément. Chez les dames, l'Université de Montréal a réussi sa mission en défaisant les championnes canadiennes en titre en quatre manches.
«C'est choquant, a lancé l'entraîneur-chef de l'équipe féminine Rouge et Or, Benoît Robitaille, après la rencontre. Montréal n'a pas si bien joué et nous, encore moins.»
La défaite est difficile pour les femmes qui n'avaient pas subi un seul revers en 2005-2006. La partie n'a pas été si facile pour autant pour l'Université de Montréal. Les Montréalaises ont remporté péniblement le premier set 25-23, mais le Rouge et Or a créé l'égalité en enlevant le deuxième set au compte de 25-21. Les gens présents au PEPS pensaient alors que l'Université Laval avait le vent dans les voiles.
Les Lavalloises ont cependant connu un troisième set qualifié «d'affreux» par Benoît Robitaille, une manche qui s'est terminée 25 à 13 en faveur des Carabins. En retard deux manches contre une, le Rouge et Or menait 23-19 et un cinquième set s'annonçait nécessaire pour déterminer les gagnantes. Les Carabins ont toutefois renversé la vapeur, créant l'égalité 24-24. Par la suite, des échanges spectaculaires ont suivi et c'est finalement à l'avantage de l'équipe montréalaise que le match s'est soldé 31-29.
Malgré la défaite, Benoît Robitaille se faisait philosophe. «Il y a tout de même du positif. Amélie Rivet a très bien exécuté les nouvelles stratégies que je lui ai demandées et Valérie Lemay a joué son meilleur match de la saison. Il faut se servir de cette partie comme expérience», a déclaré celui qui une fois de plus a perdu les services de Marylène Laplante pendant l'affrontement. La joueuse universitaire par excellence au Canada l'an passé jouait blessée et a dû quitter au cours du troisième set.
Au chapitre individuel, Marie-Christine Mondor du Rouge et Or a réussi 12 attaques marquantes, alors qu'Élise Duchesne récupérait 21 balles en défensives. Pour Montréal, Laetitia Tchoualack a été la meilleure des siennes avec 20 attaques marquantes.
Les hommes se relèvent et gagnent
L'équipe masculine Rouge et Or a donné tout un spectacle à ses partisans contre des Carabins qui ont commencé en force. Après avoir vu les visiteurs remporter le premier set 25-18, le Rouge et Or a repris le contrôle graduellement en deuxième manche, l'emportant 25-21.
«Nous n'étions pas assez audacieux au début et Montréal a très bien joué au premier set», a souligné Pascal Clément.
Par la suite, les Lavallois ont profité de leur rythme pour prendre rapidement les devants 10-4 au troisième set, mais c'était compter Montréal battu trop rapidement. Les Carabins sont venus près de prendre l'avance à deux reprises, mais le Rouge et Or a répliqué avec une série de points à chaque fois pour distancer de nouveau ses opposants, et les locaux ont enlevé le troisième set 25-20.
Un scénario semblable s'est reproduit lors du quatrième set où Laval a mené du début à la fin, mais avec de minces avances de 12-10 et de 19-18 entre autres. «Nous avons recommencé à faire les choses simples à partir du deuxième set et les gars ont bien répondu, a mentionné l'entraîneur-chef du Rouge et Or. Il était tôt pour peser sur le bouton rouge après la première manche.»
Au terme de la rencontre, les attaquants Hubert Poirier et Vincent Demers-Caron avaient 13 et 11 attaques marquantes respectivement. Pour les Carabins, Emmanuel André-Morin avec 14 et Dimitri Édouard avec 11 ont été les plus dominants à ce chapitre.
Le prochain match local des équipes féminine et masculine de volleyball sera le 3 novembre au Grand gymnase du PEPS et l'Université McGill sera en visite à Québec pour l'occasion. Les dames jouent à 18 h et les hommes suivent à 20 h.