Kayla Harrison était sans aucun doute l’un des plus gros noms sur le marché de l’autonomie cette année en arts martiaux mixtes.

Selon ESPN, la combattante aurait signé avec la Professional Fighters League le plus lucratif contrat féminin de l’histoire de son sport, bien que les termes n’aient pas été publiquement divulgués. C'est une entente de plusieurs années.

Harrison (12-0) a reçu des offres de Bellator et de l’UFC, mais la PFL avait les droits pour égaler toute offre.

La double championne olympique en judo a déjà remporté à deux reprises le tournoi des légers dans la PFL lui valant une bourse de 1 M$, et elle tentera donc de répéter l’exploit.

Elle a battu ses 5 dernières adversaires avant la limite, et 10 de ses 12 dernières. Elle a obtenu sa plus récente victoire par soumission (clé de bras) au deuxième round contre Taylor Guardado pour être couronnée championne, en octobre.

Des combats contre Cris Cyborg chez Bellator et contre Amanda Nunes dans l’UFC étaient hautement anticipés.

« Je ne dis pas que je suis la meilleure au monde, mais je veux l’être », disait Harrison à The MMA Hour, hier, avec Ariel Helwani. « C’est une longue pause depuis octobre, ça me semble une éternité. Je suis contente que ce soit presque fini, de pouvoir retourner dans la cage et de continuer de m’améliorer dans ce que j’aime. »

La saison 2022 de la PFL va débuter en avril.