Après le deuil, le rêve olympique
Amateurs lundi, 12 déc. 2011. 11:50 vendredi, 13 déc. 2024. 22:55
TOKYO - La Japonaise Mao Asada, 21 ans, double championne du monde en 2008 et 2010, est résolue à continuer à patiner « pour réaliser son rêve » olympique malgré la perte de sa mère, qui l'accompagnait sur le circuit et qui a succombé vendredi, a-t-elle déclaré lundi.
Pour rejoindre sa mère, hospitalisée à Nagoya (Japon), Asada avait déclaré forfait jeudi pour la finale du Grand Prix de la Fédération internationale de patinage (ISU), le lendemain à Québec, mais elle est arrivée trop tard pour la voir encore en vie.
« Ma mère sera satisfaite que je ne cesse jamais de faire ce que je dois pour réaliser mon rêve, comme je l'ai promis à ma famille lorsqu'elle était en vie », a-t-elle indiqué dans un communiqué publié par son agent, la société IMG.
« C'est pourquoi je vais travailler dur à l'entraînement, comme avant. C'est encore difficile de croire qu'elle est partie, mais je sens qu'elle veille sur moi, de plus près que jamais », a-t-elle ajouté.
Asada ne modifiera pas son programme d'entraînement et de compétitions, a confirmé son agent, et prépare donc le championnat du Japon la semaine prochaine, qualificatif pour le championnat du monde, en mars à Nice (France).
Médaillée d'argent aux Jeux olympiques de Vancouver en 2010, derrière la Sud-Coréenne Kim Yu-Na, Asada n'a cessé de répéter qu'elle briguerait l'or aux JO 2014 à Sotchi (Russie). C'est sa mère qui l'avait poussée vers le patinage alors qu'elle n'avait que 5 ans, et elle l'avait ensuite accompagnée à chaque étape de sa carrière.
Mao Asada a remporté le Grand Prix en 2005, à l'âge de 15 ans, et n'a pu participer aux JO 2006 à Turin (Italie) car elle était... trop jeune. Elle a encore gagné le Grand Prix en 2008, et le titre mondial la même année puis en 2010.
Sa saison 2010-2011 a mal commencé, mais elle a refait surface, d'abord deuxième au Trophée NHK à Sapporo (Japon) puis en gagnant la Coupe de Russie, pour atteindre la finale du Grand Prix à Québec.
Pour rejoindre sa mère, hospitalisée à Nagoya (Japon), Asada avait déclaré forfait jeudi pour la finale du Grand Prix de la Fédération internationale de patinage (ISU), le lendemain à Québec, mais elle est arrivée trop tard pour la voir encore en vie.
« Ma mère sera satisfaite que je ne cesse jamais de faire ce que je dois pour réaliser mon rêve, comme je l'ai promis à ma famille lorsqu'elle était en vie », a-t-elle indiqué dans un communiqué publié par son agent, la société IMG.
« C'est pourquoi je vais travailler dur à l'entraînement, comme avant. C'est encore difficile de croire qu'elle est partie, mais je sens qu'elle veille sur moi, de plus près que jamais », a-t-elle ajouté.
Asada ne modifiera pas son programme d'entraînement et de compétitions, a confirmé son agent, et prépare donc le championnat du Japon la semaine prochaine, qualificatif pour le championnat du monde, en mars à Nice (France).
Médaillée d'argent aux Jeux olympiques de Vancouver en 2010, derrière la Sud-Coréenne Kim Yu-Na, Asada n'a cessé de répéter qu'elle briguerait l'or aux JO 2014 à Sotchi (Russie). C'est sa mère qui l'avait poussée vers le patinage alors qu'elle n'avait que 5 ans, et elle l'avait ensuite accompagnée à chaque étape de sa carrière.
Mao Asada a remporté le Grand Prix en 2005, à l'âge de 15 ans, et n'a pu participer aux JO 2006 à Turin (Italie) car elle était... trop jeune. Elle a encore gagné le Grand Prix en 2008, et le titre mondial la même année puis en 2010.
Sa saison 2010-2011 a mal commencé, mais elle a refait surface, d'abord deuxième au Trophée NHK à Sapporo (Japon) puis en gagnant la Coupe de Russie, pour atteindre la finale du Grand Prix à Québec.