Autre partie, même résultat pour le Canada
Amateurs dimanche, 20 août 2006. 19:28 dimanche, 15 déc. 2024. 00:53
(Collaboration spéciale, David Vanier) - Dans la partie pour la neuvième position au classement final du Championnat mondial de handball de la jeunesse féminine, l'équipe hôtesse tentait pour la dernière fois de se mériter la victoire. Malheureusement pour les spectateurs présents, les Canadiennes ont dû s'avouer vaincue 45-10, face à des Brésiliennes visiblement trop fortes.
Émilie Fournier fut la première à déjouer les gardiennes brésiliennes à la 14e minute de jeu. Leurs adversaires s'étaient déjà inscrites à neuf reprises au tableau. Grabiela Palmeira, la gardienne brésilienne, s'est même permise le luxe de lancer dans un filet laissé vacant par Claudine Bergeron, son homologue canadienne. L'équipe de l'Amérique du Sud était finalement trop rapide pour les petites joueuses canadiennes. En défensive, le Brésil a effectué 18 vols de balle contre seulement trois pour nos représentantes.
En ce qui a trait à l'attaque, même si le Canada avait réussi à marquer sur tous les tirs qu'il a effectués, elle aurait quand même perdu, l'équipe n'ayant lancé que 29 fois sur le filet. Du côté brésilien, l'attaque a fonctionné en plein régime complétant 68% de leurs tentatives de marquer. Leurs six attaquantes partantes ont toutes marqué un minimum de cinq filets.
L'heure est au bilan.
Pour les joueuses canadiennes, l'expérience d'une telle compétition et de tout ce qui l'a entourée est le principal héritage que le championnat du monde leur aura offert. «C'est certain qu'on va se souvenir qu'on s'est fait battre à tous les matchs, mais les autres équipes étaient très fortes aussi, on s'y attendait un peu. Malgré tout, on a toutes appris beaucoup sur le handball en jouant ici, contre ces joueuses», affirme l'arrière Catherine Poirier après la défaite de samedi.
«Les filles ont tout donné ce qu'elles avaient dans le ventre. C'est certain que c'est dommage de la manière dont les parties se sont terminées, mais ce sera une bonne expérience pour chacune d'elle», avoue l'entraîneur adjoint Stéphane Forges.
Émilie Fournier fut la première à déjouer les gardiennes brésiliennes à la 14e minute de jeu. Leurs adversaires s'étaient déjà inscrites à neuf reprises au tableau. Grabiela Palmeira, la gardienne brésilienne, s'est même permise le luxe de lancer dans un filet laissé vacant par Claudine Bergeron, son homologue canadienne. L'équipe de l'Amérique du Sud était finalement trop rapide pour les petites joueuses canadiennes. En défensive, le Brésil a effectué 18 vols de balle contre seulement trois pour nos représentantes.
En ce qui a trait à l'attaque, même si le Canada avait réussi à marquer sur tous les tirs qu'il a effectués, elle aurait quand même perdu, l'équipe n'ayant lancé que 29 fois sur le filet. Du côté brésilien, l'attaque a fonctionné en plein régime complétant 68% de leurs tentatives de marquer. Leurs six attaquantes partantes ont toutes marqué un minimum de cinq filets.
L'heure est au bilan.
Pour les joueuses canadiennes, l'expérience d'une telle compétition et de tout ce qui l'a entourée est le principal héritage que le championnat du monde leur aura offert. «C'est certain qu'on va se souvenir qu'on s'est fait battre à tous les matchs, mais les autres équipes étaient très fortes aussi, on s'y attendait un peu. Malgré tout, on a toutes appris beaucoup sur le handball en jouant ici, contre ces joueuses», affirme l'arrière Catherine Poirier après la défaite de samedi.
«Les filles ont tout donné ce qu'elles avaient dans le ventre. C'est certain que c'est dommage de la manière dont les parties se sont terminées, mais ce sera une bonne expérience pour chacune d'elle», avoue l'entraîneur adjoint Stéphane Forges.