Barbara Ann Scott, source d'inspiration
Amateurs lundi, 1 oct. 2012. 18:06 jeudi, 12 déc. 2024. 05:36
OTTAWA - Barbara Ann Scott, qui a rendu l'âme dimanche, à l'âge de 84 ans, était une source d'inspiration au Minto Skating Club, à Ottawa.
Des membres du club se sont rassemblés lundi pour se remémorer Scott, la seule patineuse artistique canadienne à avoir remporté l'or en compétition individuelle aux Jeux olympiques.
Scott est décédée dimanche à sa résidence de Floride, avec son mari Tom King à ses côtés.
«Barbara Ann représente beaucoup pour les jeunes, parce qu'elle n'était jamais une figure distante, a dit le président du club Minto, Bruce Mayo. Elle habitait aux États-Unis mais elle nous rendait souvent visite, et elle était toujours accessible. Elle était extrêmement humble et heureuse d'être là.»
Scott est née et a grandi à Ottawa, où elle a fait ses classes au réputé club Minto.
Son amie d'enfance Judy Reid, qui s'entraînait avec elle, s'est rappelée son éthique de travail exemplaire, dès un jeune âge.
«Chaque jour, Barbara Ann s'entraînait à partir de tôt le matin jusqu'à tôt le soir», a dit Reid.
Ce dévouement a permis à Scott de dominer les compétitions mondiales dans les années 1940: elle a remporté les championnats canadiens quatre fois, ainsi que les championnats nord-américains, européens et mondiaux, deux fois chacun.
Sa meilleure année a été 1948, alors qu'elle a récolté quatre titres majeurs dont l'or olympique à Saint-Moritz, en Suisse. Tout cela avant l'âge de 21 ans.
À Ottawa et au club Minto en particulier, c'est sa bonté dont vont toujours se rappeler sa famille et ses amis dans la communauté du patinage artistique.
«Vous n'auriez pas pu trouver quelqu'un plus gentil. Elle était tellement appréciée de tout le monde, a dit Barbara Paszat, elle aussi membre du club dans les années 1940. Son succès en patins ne lui a jamais monté à la tête. Elle était simplement d'une telle gentillesse.»
Sa douceur naturelle aura marqué plus d'une génération.
«Si vous étiez un jeune patineur à notre club et que vous vouliez la rencontrer, vous alliez en avoir la chance, a mentionné Mayo. Elle parlait aux jeunes, elle signait des autographes. Elle a été très disponible pendant toute sa vie.»
Des membres du club se sont rassemblés lundi pour se remémorer Scott, la seule patineuse artistique canadienne à avoir remporté l'or en compétition individuelle aux Jeux olympiques.
Scott est décédée dimanche à sa résidence de Floride, avec son mari Tom King à ses côtés.
«Barbara Ann représente beaucoup pour les jeunes, parce qu'elle n'était jamais une figure distante, a dit le président du club Minto, Bruce Mayo. Elle habitait aux États-Unis mais elle nous rendait souvent visite, et elle était toujours accessible. Elle était extrêmement humble et heureuse d'être là.»
Scott est née et a grandi à Ottawa, où elle a fait ses classes au réputé club Minto.
Son amie d'enfance Judy Reid, qui s'entraînait avec elle, s'est rappelée son éthique de travail exemplaire, dès un jeune âge.
«Chaque jour, Barbara Ann s'entraînait à partir de tôt le matin jusqu'à tôt le soir», a dit Reid.
Ce dévouement a permis à Scott de dominer les compétitions mondiales dans les années 1940: elle a remporté les championnats canadiens quatre fois, ainsi que les championnats nord-américains, européens et mondiaux, deux fois chacun.
Sa meilleure année a été 1948, alors qu'elle a récolté quatre titres majeurs dont l'or olympique à Saint-Moritz, en Suisse. Tout cela avant l'âge de 21 ans.
À Ottawa et au club Minto en particulier, c'est sa bonté dont vont toujours se rappeler sa famille et ses amis dans la communauté du patinage artistique.
«Vous n'auriez pas pu trouver quelqu'un plus gentil. Elle était tellement appréciée de tout le monde, a dit Barbara Paszat, elle aussi membre du club dans les années 1940. Son succès en patins ne lui a jamais monté à la tête. Elle était simplement d'une telle gentillesse.»
Sa douceur naturelle aura marqué plus d'une génération.
«Si vous étiez un jeune patineur à notre club et que vous vouliez la rencontrer, vous alliez en avoir la chance, a mentionné Mayo. Elle parlait aux jeunes, elle signait des autographes. Elle a été très disponible pendant toute sa vie.»