Brian Joubert a un objectif en tête
Amateurs jeudi, 4 nov. 2010. 09:47 jeudi, 12 déc. 2024. 05:46
PEKIN - Le champion du monde 2005, le Français Brian Joubert, vise un grand chelem inédit dans l'histoire du patinage artistique : il entend devenir le premier patineur à remporter les six Grands Prix en enlevant, vendredi et samedi à Pékin, la seule épreuve qui manque à son palmarès, la Coupe de Chine.
Joubert, 26 ans, n'a plus gagné de compétitions internationales depuis le Trophée NHK, il y a tout juste un an à Tokyo.
"Après le NHK de l'an passé, je me suis rendu compte qu'il ne m'en restait plus qu'un à gagner. Mais ça fait un moment que j'y pense. Déjà en 2002, quand j'ai commencé les Grand Prix, je me disais: 'ce serait sympa de tous les gagner'", raconte-t-il.
Joubert a déjà une première à son actif. Il est devenu le premier patineur européen à passer trois quadruple sauts - la plus grande difficulté technique - dans son programme.
"C'est histoire de marquer mon sport. Etre le premier à faire quelque chose, on s'en souviendra quand même", dit-il.
Le sportif aux quinze médailles internationales - 6 mondiales et 9 européennes (dont 3 en or) - est reparti du bon pied cette saison après la claque des jeux Olympiques en février (16e). Il a changé d'entraîneur pour retrouver Véronique Guyon, qui l'a formé et guidé vers sa première grande médaille en 2002 (bronze aux Europe).
"Le fait qu'il y ait un changement d'entraîneur, ça change beaucoup de choses. Il y a de nouveau le plaisir de patiner. Et c'est une très bonne technicienne. Du coup, tout paraît plus simple", explique le champion, qui avoue ne plus s'être fait "plaisir depuis les Championnats du monde 2008".
Outre le défi du Français, les projecteurs seront tournés vers le couple champion du monde en titre, les Chinois Qing Pang et Jian Tong, qui espèrent assurer leur place pour la finale des Grands Prix, qui aura lieu ici-même, à Pékin (9-12 décembre).
Le plateau féminin n'est pas particulièrement relevé. Seule la Japonaise Miki Ando possède un titre mondial, glané en 2007. Elle sera confrontée à sa compatriote Akiko Suzuki et à la jeune Américaine de 17 ans, Mirai Nagasu.
Joubert, 26 ans, n'a plus gagné de compétitions internationales depuis le Trophée NHK, il y a tout juste un an à Tokyo.
"Après le NHK de l'an passé, je me suis rendu compte qu'il ne m'en restait plus qu'un à gagner. Mais ça fait un moment que j'y pense. Déjà en 2002, quand j'ai commencé les Grand Prix, je me disais: 'ce serait sympa de tous les gagner'", raconte-t-il.
Joubert a déjà une première à son actif. Il est devenu le premier patineur européen à passer trois quadruple sauts - la plus grande difficulté technique - dans son programme.
"C'est histoire de marquer mon sport. Etre le premier à faire quelque chose, on s'en souviendra quand même", dit-il.
Le sportif aux quinze médailles internationales - 6 mondiales et 9 européennes (dont 3 en or) - est reparti du bon pied cette saison après la claque des jeux Olympiques en février (16e). Il a changé d'entraîneur pour retrouver Véronique Guyon, qui l'a formé et guidé vers sa première grande médaille en 2002 (bronze aux Europe).
"Le fait qu'il y ait un changement d'entraîneur, ça change beaucoup de choses. Il y a de nouveau le plaisir de patiner. Et c'est une très bonne technicienne. Du coup, tout paraît plus simple", explique le champion, qui avoue ne plus s'être fait "plaisir depuis les Championnats du monde 2008".
Outre le défi du Français, les projecteurs seront tournés vers le couple champion du monde en titre, les Chinois Qing Pang et Jian Tong, qui espèrent assurer leur place pour la finale des Grands Prix, qui aura lieu ici-même, à Pékin (9-12 décembre).
Le plateau féminin n'est pas particulièrement relevé. Seule la Japonaise Miki Ando possède un titre mondial, glané en 2007. Elle sera confrontée à sa compatriote Akiko Suzuki et à la jeune Américaine de 17 ans, Mirai Nagasu.