C'est bon, mais pas assez pour Martin
Amateurs jeudi, 21 juin 2007. 15:47 dimanche, 15 déc. 2024. 11:48
Montréal (Sportcom) - La paire canadienne composée de la Sherbrookoise Annie Martin et de la Torontoise Dana Cook a pris le 17e rang du Grand Chelem de volleyball de plage de Paris, jeudi, dans la capitale française.
À leur premier match de la journée, Martin et Cooke, 32es favorites du tournoi, ont causé une certaine surprise en défaisant les Norvégiennes et 17es favorites, Kathrine Maaseide et Susanne Glesnes, au compte de 21-18, 17-21 et 19-17. Au second match, les Canadiennes ont baissé pavillon 11-21, 21-18 et 15-10 contre les Grecques Vassiliki Arvaniti et Vasso Karadassiou.
Après un départ canon en première manche du match contre les Grecques où elles se sont facilement imposées 21-11, Martin et Cooke ont vu leurs adversaires retrouver leur niveau de jeu.
« Le match (contre les Grecques) était à portée de main, mais elles forment une équipe expérimentée. Il y a deux ans, elles se classaient régulièrement en finale et en demi-finale, a commenté Martin. La semaine dernière, elles ont fini quatrièmes au Portugal. Nous savions donc que ça serait un gros match. »
« En deuxième manche, nous avons pris du retard alors qu'elles menaient 6-1, a poursuivi Martin. Nous avons continué à travailler fort et nous sommes revenues dans le match. En troisième manche, c'est grâce à un petit point par ici et là qu'elles sont venues nous chercher. C'est ce qui a fait la différence. N'empêche, c'était un match extraordinaire, car il y a eu beaucoup de jeux en défensive. Je pense que le public en a eu pour son argent! »
En prenant le 17e rang, l'équipe entraînée par Vincent Larivée obtient son meilleur résultat de la saison. Ce classement obtenu dans le cadre du premier Grand Chelem de l'année ne sera toutefois pas suffisant pour que les deux joueuses accèdent directement au tableau principal de l'Open de Norvège, la semaine prochaine.
« Pour nous, c'est une belle progression. Si nous avions gagné contre les Grecques, nous aurions terminé au mieux neuvièmes. Étape par étape, nous sommes plus stables et nous construisons notre confiance là-dessus. À chaque point, nous devons être présentes mentalement au maximum. Notre complicité continue de se créer, ce que fait en sorte que nous sommes plus confiantes match après match », a conclu la Québécoise.
À leur premier match de la journée, Martin et Cooke, 32es favorites du tournoi, ont causé une certaine surprise en défaisant les Norvégiennes et 17es favorites, Kathrine Maaseide et Susanne Glesnes, au compte de 21-18, 17-21 et 19-17. Au second match, les Canadiennes ont baissé pavillon 11-21, 21-18 et 15-10 contre les Grecques Vassiliki Arvaniti et Vasso Karadassiou.
Après un départ canon en première manche du match contre les Grecques où elles se sont facilement imposées 21-11, Martin et Cooke ont vu leurs adversaires retrouver leur niveau de jeu.
« Le match (contre les Grecques) était à portée de main, mais elles forment une équipe expérimentée. Il y a deux ans, elles se classaient régulièrement en finale et en demi-finale, a commenté Martin. La semaine dernière, elles ont fini quatrièmes au Portugal. Nous savions donc que ça serait un gros match. »
« En deuxième manche, nous avons pris du retard alors qu'elles menaient 6-1, a poursuivi Martin. Nous avons continué à travailler fort et nous sommes revenues dans le match. En troisième manche, c'est grâce à un petit point par ici et là qu'elles sont venues nous chercher. C'est ce qui a fait la différence. N'empêche, c'était un match extraordinaire, car il y a eu beaucoup de jeux en défensive. Je pense que le public en a eu pour son argent! »
En prenant le 17e rang, l'équipe entraînée par Vincent Larivée obtient son meilleur résultat de la saison. Ce classement obtenu dans le cadre du premier Grand Chelem de l'année ne sera toutefois pas suffisant pour que les deux joueuses accèdent directement au tableau principal de l'Open de Norvège, la semaine prochaine.
« Pour nous, c'est une belle progression. Si nous avions gagné contre les Grecques, nous aurions terminé au mieux neuvièmes. Étape par étape, nous sommes plus stables et nous construisons notre confiance là-dessus. À chaque point, nous devons être présentes mentalement au maximum. Notre complicité continue de se créer, ce que fait en sorte que nous sommes plus confiantes match après match », a conclu la Québécoise.