Chouki remis en liberté
Amateurs mercredi, 22 sept. 2004. 12:15 samedi, 14 déc. 2024. 07:47
STRASBOURG (AFP) - L'athlète français Fouad Chouki, mis en examen pour viol sur une adolescente de 14 ans, a quitté mercredi libre la prison de Strasbourg (est) où il était détenu depuis le 7 septembre, a constaté une journaliste de l'AFP.
L'athlète est sorti de la maison d'arrêt de l'Elsau à Strasbourg à 16h00, la tête cachée sous une couverture.
Sa remise en liberté avait été décidée quelques heures plus tôt par la juge d'instruction chargée de l'affaire. "La juge d'instruction considère qu'il n'y a plus lieu de le maintenir en détention", avait indiqué une source proche du dossier.
Le spécialiste du demi-fond, âgé de 25 ans, avait été mis en examen et placé en détention provisoire à la prison de Strasbourg pour "viol sur mineure de 15 ans". Selon son avocat, Fouad Chouki a toujours affirmé qu'il ne se souvenait de rien en ce qui concerne les faits qui, d'après la jeune Lilias, auraient eu lieu le 4 septembre.
Après avoir accusé dans un premier temps l'athlète de l'avoir violée, l'adolescente s'était rétractée dans une lettre remise le 11 septembre à l'AFP et dans laquelle elle reconnaissait avoir été consentante.
L'athlète est sorti de la maison d'arrêt de l'Elsau à Strasbourg à 16h00, la tête cachée sous une couverture.
Sa remise en liberté avait été décidée quelques heures plus tôt par la juge d'instruction chargée de l'affaire. "La juge d'instruction considère qu'il n'y a plus lieu de le maintenir en détention", avait indiqué une source proche du dossier.
Le spécialiste du demi-fond, âgé de 25 ans, avait été mis en examen et placé en détention provisoire à la prison de Strasbourg pour "viol sur mineure de 15 ans". Selon son avocat, Fouad Chouki a toujours affirmé qu'il ne se souvenait de rien en ce qui concerne les faits qui, d'après la jeune Lilias, auraient eu lieu le 4 septembre.
Après avoir accusé dans un premier temps l'athlète de l'avoir violée, l'adolescente s'était rétractée dans une lettre remise le 11 septembre à l'AFP et dans laquelle elle reconnaissait avoir été consentante.