Commonwealth : plusieurs objets volés
Amateurs mercredi, 27 oct. 2010. 11:55 samedi, 14 déc. 2024. 22:50
NEW DELHI - Les autorités ont fait état de vols au stade principal des Jeux du Commonwealth ainsi qu'au village des athlètes, a indiqué la police mercredi, pendant qu'on faisait enquête sur les accusations de corruption et de délais de construction qui ont affecté l'événement.
La police a fait savoir qu'on avait volé des ordinateurs, des téléphones cellulaires et des modems au stade Jawaharlal Nehru, tandis que trois barrières contre le son avaient disparu du complexe qui a abrité près de 7000 athlètes durant les Jeux.
Les incidents de pillage viennent affecter davantage l'héritage négatif des Jeux, dont l'Inde espérait se servir pour vendre une image de puissance économique en devenir.
L'image du pays a plutôt été ternie par les efforts effrénés de dernière minute pour éviter un boycottage de plusieurs pays, dont le Canada. Au moment où les Jeux se sont terminés, le gouvernement fédéral a ordonné la tenue d'une enquête sur les accusations de corruption et de mauvaise gestion, pendant que les journaux continuaient de publier quotidiennement des reportages à l'effet que des millions de dollars auraient été empochés par des membres du comité organisateur.
Les récents vols, révélés par le comité organisateur cette semaine, semblent avoir été perpétrés à l'interne, possiblement par des ouvriers chargés de démonter les équipements puisque la police a bloqué l'accès du public aux installations, a fait savoir K.C. Dwivedi, de la police de New Delhi. Le journal The Times of India a indiqué que les barrières contre le son avaient été importées d'Allemagne au coût d'environ 30 millions de roupies (694 750 $ CAN).
Des milliers d'affiches sur lesquelles on retrouvait le dessin de la mascotte des Jeux, un tigre, ont également disparu après avoir été placées un peu partout dans la capitale indienne.
Entre-temps, la Haute Cour de New Delhi a permis à un organisme gouvernemental de réclamer 900 millions de roupies (20,8 millions $ CAN) en dommages auprès d'une entreprise en immobilier de Dubaï, Emaar-MGF, parce qu'elle n'a pas complété un projet à temps. Ce montant représente la moitié de la garantie bancaire accompagnant le contrat pour bâtir plus de 1000 logements, des installations pour l'entraînement et la restauration, ainsi que plusieurs salles de loisirs au village des athlètes.
Emaar-MGF a accusé le gouvernement d'avoir tardé à installer la tuyauterie et à construire les routes menant au village.
La police a fait savoir qu'on avait volé des ordinateurs, des téléphones cellulaires et des modems au stade Jawaharlal Nehru, tandis que trois barrières contre le son avaient disparu du complexe qui a abrité près de 7000 athlètes durant les Jeux.
Les incidents de pillage viennent affecter davantage l'héritage négatif des Jeux, dont l'Inde espérait se servir pour vendre une image de puissance économique en devenir.
L'image du pays a plutôt été ternie par les efforts effrénés de dernière minute pour éviter un boycottage de plusieurs pays, dont le Canada. Au moment où les Jeux se sont terminés, le gouvernement fédéral a ordonné la tenue d'une enquête sur les accusations de corruption et de mauvaise gestion, pendant que les journaux continuaient de publier quotidiennement des reportages à l'effet que des millions de dollars auraient été empochés par des membres du comité organisateur.
Les récents vols, révélés par le comité organisateur cette semaine, semblent avoir été perpétrés à l'interne, possiblement par des ouvriers chargés de démonter les équipements puisque la police a bloqué l'accès du public aux installations, a fait savoir K.C. Dwivedi, de la police de New Delhi. Le journal The Times of India a indiqué que les barrières contre le son avaient été importées d'Allemagne au coût d'environ 30 millions de roupies (694 750 $ CAN).
Des milliers d'affiches sur lesquelles on retrouvait le dessin de la mascotte des Jeux, un tigre, ont également disparu après avoir été placées un peu partout dans la capitale indienne.
Entre-temps, la Haute Cour de New Delhi a permis à un organisme gouvernemental de réclamer 900 millions de roupies (20,8 millions $ CAN) en dommages auprès d'une entreprise en immobilier de Dubaï, Emaar-MGF, parce qu'elle n'a pas complété un projet à temps. Ce montant représente la moitié de la garantie bancaire accompagnant le contrat pour bâtir plus de 1000 logements, des installations pour l'entraînement et la restauration, ainsi que plusieurs salles de loisirs au village des athlètes.
Emaar-MGF a accusé le gouvernement d'avoir tardé à installer la tuyauterie et à construire les routes menant au village.