Commonwealth : un 3e cas de dopage
Amateurs mercredi, 13 oct. 2010. 14:38 jeudi, 12 déc. 2024. 14:44
NEW DELHI - La marcheuse indienne Rani Yadav a échoué un test antidopage révélant la présence du stéroïde interdit nandrolone, mercredi, devenant le troisième cas de dopage aux Jeux du Commonwealth.
La Fédération des Jeux dit que Yadav, sixième du 20 km féminin, samedi, a été suspendue de l'épreuve de façon provisoire.
Yadav, qui a demandé qu'on examine son échantillon B, pourrait être bannie pendant deux ans, si elle était trouvée coupable.
Lors des deux jours précédents, deux coureurs du Nigeria ont échoué des tests en lien au stimulant interdit Methylhexaneamine. On a retiré à Osayomi Oludamola sa médaille d'or au 100 m féminin; l'autre contrevenant, le coureur de haies Samuel Okon, n'a pas accédé au podium.
Mike Fennell, président de la Fédération des Jeux du Commonwealth, a dit que plus de 1300 échantillons de contrôle antidopage ont été recueillis lors des Jeux, jusqu'ici.
"Tout le monde devrait être d'accord que trois cas sur 1300 tests, ce n'est pas mauvais, a dit Fennell. Et deux des cas concernent ce que beaucoup considèrent comme n'étant pas une facette sérieuse du dopage, soit les stimulants. Ce nouveau cas n'a pas été entendu, et je ne voudrais pas de faire de commentaires."
La Fédération des Jeux dit que Yadav, sixième du 20 km féminin, samedi, a été suspendue de l'épreuve de façon provisoire.
Yadav, qui a demandé qu'on examine son échantillon B, pourrait être bannie pendant deux ans, si elle était trouvée coupable.
Lors des deux jours précédents, deux coureurs du Nigeria ont échoué des tests en lien au stimulant interdit Methylhexaneamine. On a retiré à Osayomi Oludamola sa médaille d'or au 100 m féminin; l'autre contrevenant, le coureur de haies Samuel Okon, n'a pas accédé au podium.
Mike Fennell, président de la Fédération des Jeux du Commonwealth, a dit que plus de 1300 échantillons de contrôle antidopage ont été recueillis lors des Jeux, jusqu'ici.
"Tout le monde devrait être d'accord que trois cas sur 1300 tests, ce n'est pas mauvais, a dit Fennell. Et deux des cas concernent ce que beaucoup considèrent comme n'étant pas une facette sérieuse du dopage, soit les stimulants. Ce nouveau cas n'a pas été entendu, et je ne voudrais pas de faire de commentaires."