HOPKINTON, Mass. - Le Kenyan Benson Kipruto a remporté le marathon de Boston reporté par la pandémie de COVID-19 alors que l'épreuve a fait son retour après une absence de 30 mois et a été présentée à l'automne pour la première fois en 125 ans d'histoire.

Kipruto, 10e à Boston en 2019, a patienté après une échappée très tôt dans la course de l'Américain C.J. Albertson et a pris la tête au 37e kilomètre. Il l'a emporté en 2h09:51, devant les Ethiopiens Lemi Berhanu (2h10:36) et Jemal Yimer (2h10:37).

Plus tôt, le Suisse Marcel Hug s'était imposé lors de l'épreuve masculine en fauteuil roulant, couvrant la distance en une heure, 8:11 minutes _ à seulement sept secondes de son record personnel.

Hug, à sa huitième présence à Boston où il a mérité cinq victoires, s'est privé d'un boni de 50 000 $ pour le record lorsqu'il a raté l'avant-dernier virage, suivant le véhicule de tête au lieu de tourner de Commonwealth Avenue à Hereford Street.

Manuela Schoer, également de Suisse, a remporté la course féminine en fauteuil roulant en 1h35:20.

« La voiture est allée tout droit et je l'ai suivie, a expliqué Hug, qui a terminé deuxième du marathon de Chicago à une seconde, dimanche. Mais c'est de ma faute. Je devais aller à droite, mais j'ai suivi la voiture. »

Avec le feuillage d'automne remplaçant les jonquilles printanières et plus de masques que de couvertures, le coup d'envoi de la 125e édition du marathon de Boston a finalement été donné de Hopkinton pour sa longue course tant attendue vers Copley Square.

Un départ lancé et un peloton moins nombreux ont permis une distanciation physique sur le parcours, alors que les organisateurs ont tenté de s'adapter à une pandémie de COVID-19 qui les a obligés à annuler la course l'année dernière pour la première fois depuis le début de l'événement en 1897.

Une pluie légère a accueilli les participants à Hopkinton Green, où environ 30 membres en uniforme de la Garde nationale du Massachusetts ont parcouru le tracé à 6 heures du matin.

Le directeur de la course, Dave McGillivray, a confié être soulagé du retour de l'événement.

« C'est un sentiment formidable d'être de retour, a-t-il dit. Tout le monde est excité. Nous attendons avec impatience une bonne journée. »

La course de l'année dernière a d'abord été reportée à septembre en raison de la pandémie, puis annulée pour la première fois de son histoire. Les coureurs inscrits ont été invités à parcourir eux-mêmes la distance en tant qu'événement virtuel. La course de cette année a été déplacée du mois d'avril dans l'espoir que la pandémie s'atténue.

Tout est nouveau. C'est la première édition d'automne du marathon. Les coureurs devaient prouver qu'ils étaient vaccinés ou fournir des tests négatifs à la COVID-19. Ils partent à des heures décalées avec un départ lancé. Ils n'attendent pas et ne s'étirent pas dans le village traditionnel des athlètes avant de s'aligner dans l'aire de départ. Ils sont censés marcher jusqu'à la ligne de départ et partir. Le port du masque est obligatoire jusqu'au franchissement de la ligne de départ.

La course de l'année dernière a d'abord été reportée à septembre en raison de la pandémie, puis annulée pour la première fois de son histoire. Les coureurs inscrits ont été invités à parcourir eux-mêmes la distance en tant qu'événement virtuel. La course de cette année a été déplacée du mois d'avril dans l'espoir que la pandémie s'atténue.

Tout est nouveau. C'est la première édition d'automne du marathon. Les coureurs devaient prouver qu'ils étaient vaccinés ou fournir des tests négatifs à la COVID-19. Ils partent à des heures décalées avec un départ lancé. Ils n'attendent pas et ne s'étirent pas dans le village traditionnel des athlètes avant de s'aligner dans l'aire de départ. Ils sont censés marcher jusqu'à la ligne de départ et partir. Le port du masque est obligatoire jusqu'au franchissement de la ligne de départ.